Bien souvent, j’ai constaté qu’il y avait des points communs en terme d’occurrence, entre les mots choisis, de tel ou tel, alors qu’à priori tout devait les opposer. De fait, le choix d’un mot, tout comme celui d’un chiffre, ne s’exprime vraiment qu’à partir du moment où on lui donne sa raison d’être. Qu’on le qualifie, par exemple. Entier relatif, en politique, signé de la pointe de l’épée, Z, il précise le positionnement de celui qui l’écrit par rapport aux autres compétiteurs.
Droite et gauche trouvent là leur sens, et les sophistes qui veulent démontrer le contraire, se sont, est c’est heureux pour la démocratie, une fois de plus confrontés à la réalité des urnes. Si certains de ceux-là ont délibérément choisi de s’exprimer maintenant à l’extrême centre, il y en a un au fil des jours qui voit le lien ténu qui l’attache encore à la vie politique se déliter sous ses yeux. C’est son affaire. Ce n’est plus qu’une question de temps.
C’est dommage car lorsqu’on regarde les mots et leurs occurrences dans la campagne écrite de François Bayrou, s’ils s’écartent de ceux que nourrit le président candidat, ils sont souvent proches, jusqu’à partager le nombre d’occurrence dans certains domaines, de ceux de François Hollande, voire de Jean-Luc Mélenchon.
à suivre
