La Technocratie a encore frappé.
Robin des bois à l’envers !
Voler aux pauvres pour attirer les riches
Piller l’assurance chômage et conserver des niches
Anulingus pour Roux de Bézieux
Et le cimetière pour les bouseux...
Financer la suppression de la CVAE
En pillant les futurs vieux
Deux ans de moins à souffler
Deux ans de moins à jardiner
Pour beaucoup, deux ans de moins tout court
Deux ans de plus à trimer
Deux ans de plus à s’épuiser
Deux ans de plus au four.
Putain!. Deux ans….
Combien de temps tiendraient-il à larbiner ?
A nettoyer des chiottes d'autoroute, à souder de l’étanchéité ?
A soigner des escarres, à découper des poulets ?
43 jours peut-être, 43 ans certainement pas.
Ce que j'aimerais voir un Darmanin magasinier chez IKEA...
Pour parler de la valeur travail, ils sont tous prêts à mentir,
Sur ce qu’ils croient en savoir, sur ce qu’ils n’ont jamais vécu
A part les nazillons et quelques patrons, vous êtes le pire.
Foutus technocrates manipulateurs et corrompus
Les gars… ils ont jamais été autre chose que cadres, patrons ou hauts fonctionnaires
Bouffer à tous les râteliers, ça ils savent faire
Sangsues, parasites, vampires, tiques, cancers,
Vous êtes cooptés, vous réseautez, vous pantouflez,
Vous ne saurez jamais ce que c’est que de travailler,
Vous êtes payés avec le sang des travailleurs
Nos larmes, nos douleurs, notre sueur,
Tout ce qui compte à vos yeux
C’est votre ambition, le premier million,
Tout ce qui compte à vos yeux
C’est décrocher, avec votre carnet d’adresse,
Un poste au conseil d’administration d’Hermès.
Alors arrêtez cette mascarade
De mensonges, de mépris, de fanfaronnades
Pendant que s’entretuent les camarades
D’un côté et de l’autre des barricades
Tout ce qui compte pour Manu en réalité,
C’est que la France reste le pays qui paye le plus de dividende par habitant
Rien à foutre des Lumières, de l’égalité, de la fraternité
Il faut trimer et enrichir ceux qui évadent l’impôt impunément
Pendant que la géobiosphère se meure,
Que toute la vie sur Terre hurle de douleur
Noyée dans les pesticides, le plastique,
Il faudrait qu’on sourie quand tu nous niques ?
Pour citer un pseudo philosophe
Taisez vous
Toi et ta clique
De Friedmanniens frénétiques
On a pas voté pour toi, on voulait juste pas avoir Benito
Mais ça ne veut dire qu’on croit à tes mythos
12 milliards ça se trouve si on cherche du côté des niches fiscales
Des cadeaux que tu as fait à ce qui n’en avait pas besoin
Au lieu de te soucier de ceux qui crèvent la dalle
Donc arrête, si y’en a un, con à bouffer du foin,
C’est bien toi mon gars si tu continues à croire
Que tu as la moindre chance de victoire.