C'est Philippe Brian qui sait, Briament pas compter.
Rien de sulfureux, peut-être, mais je suis épaté que personne n'ai jamais mentionné la star que Sarkozy s'est choisis pour payer le conte de sa communication !!
On a bien compris, au regard de l'actualité sur la mendicité1 UMP de Copé, suite au rejet des comptes de campagne UMP 2012 aux Présidentielles par la CNCCFP (commssion nationnale des compte de campagne et des financements politiques), qu'en plus d'être un homme politique foireux, Sarkozy avait des problêmes avec argent publique / argent perso, mais surtout, et aussi, avec le recruttement de gens de qualités...
Parce que connement (pour ma part), je croyais que c'était la tâche du trésorier très officiel médiatiquement parlant, nommé Eric Woerth-Bettencour, Mais non, ce n'est pas le notre bec de moule nationnal qui a fauté cette fois! (Dômmage!!!)
Donc la prese, a oublié de parler de ce fameux trésorier de la campagne de 2012 qui ne sait tellement pas compter que les comptes de campagne ont été rejetés, et fait suivre à un racollage actif de mandicité active (pourtant sanctionné par des lois Hortefeux, quand les gens ne sont pas assez whites ou trop ROMS) organisée par Juan-Franco Copé...(un type de Meaux qui se chiait dessus de crainte que son officine UMP fasse faillite, ou vende ses bijoux de famille).
La star de cette trésorie merdique est Philippe Briand (le mal nommé, ou incomplet car "Brillant de conneries" lui offrirait, en plus d'une particule, un nom bien plus adéquat).
Sur sa fiche Assemblée Nationnale
M. Philippe Briand
- Indre-et-Loire (5ème circonscription)
- Mandat XIIIe législature clos (2007-2012)
Commission
- Membre de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire
Biographie
- Né le 26 octobre 1960 à Tours (Indre-et-Loire)
- Chef d'entreprise et assureur
Suppléant
- M. Joël Pelicot.
Autre rappel sur Le Monde.fr, à propos des difficultés UMP de faire des additions (que tous les p'tits enfants de France apprennent même dans les Maternelles), et les partouses politique PS UMP et autres.
- Parce qu'il est arrivé à plusieurs reprises que des questions se posent sur certains comptes.
Ainsi, en 1995 toujours (Le Monde en 2010), le Conseil constitutionnel, alors présidé par Roland Dumas, avait choisi de valider les comptes de campagne d'Edouard Balladur, malgré l'avis négatif du rapporteur, qui avait constaté de très nombreux points ambigus, et notamment la présence suspecte de 10,25 millions de francs en liquide (rein que ça), versés le 26 avril 1995 sur le compte du candidat. Les familles des victimes de l'attentat de Karachi soupçonnent ces fonds de provenir de rétrocommissions illégales versées pour la vente de sous-marins au Pakistan.