Apollo XI : pause lunaire réussie !
Jupiter n'a qu'à bien se tenir, le Trash-ball cuissardé, lui qui Bondage le peuple !
Apollon se jette dans le grand bain, Splash© ! et créé des halos ondins à la surface, il élève les Andines qui ondulent et suscite des remous en-dessous, c'est chic ! Le satin banque (je suis riche de son Amour) ! Faisons la route !
J'entends ses Aaaaaaaaaaah qu'il n'expire pas, étouffés par la brume de mes volutes que je m'entête à gober.
Le temps des couvre-Chefs ? À l'automne pour parer la pluie ? en été contre les flèches d'Hélios ?
Le couvre-Chefs, l'Anarchie, la Libre, c'est maintenant au Printemps, la moisson des glaïeuls, oui ! époque de toutes les Révolutions qui ne suivent pas toujours l'horloge du temps des saisons naturelles.
Mon coeur est ravi sans contraintes mises-à-part les tic-tacs des mitraillettes toquantes à mes tympans qui renouvellent sans-cesse en cycl-ades les adieux, mes hivers.
Puisqu'il n'est plus, je me fous du passé !
Le présent importe plus, nous pouvons s'y é-mouvoir
Le futur ne sera jamais là, il sera toujours un présent autre après lequel courir.