"Dans ton fauteuil capitonneuxTu graisses les mains du mieux qu'tu peux.Ta drogue à toi c'est le pognonNot'rente à nous c'est : remboursons ! Petite cloche non loin d'ma vueDur est ton lit en bas d'la rue,Petit veinard bien loin d'cette rueTendre est ton lit bien loin d'cette vue. Junky fric, junky chicTes délires psychédéliques,Rendent fous l'effet statique.Côté stratège tu sors mentionJugules à temps les rebellions. Petite cloche non loin d'ma vueDur est ton lit en bas d'la rue,Petit veinard bien loin d'cette rueTendre est ton lit bien loin d'cette vue. Les renégats sont sans frontière,Parjures vous êtes bien frères.Actions perverses au goût de fielTu joues cruel, c'est démentiel. Petite cloche non loin d'ma vueDur est ton lit en bas d'la rue. Petite cloche tu es perdueT'es pas tout'seule le savais-tu ? Je te respecte, Toi qui devais êtreAvant même qu'ils n'aient ta perte...Je méprise leurs maux infectsEt prie à leurs défaites. Dans ton fauteuil capitonneuxTu graisses les mais du mieux qu'tu peux.Ta drogue à toi c'est le pouvoirAcclamons l'empire barbare... Petite cloche tu es perdueT'es plus tout'seule nous sommes vaincus..."
Valérie MAÏO-MOUILLAC
Je suis l'Auteure de cette poésie
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La vidéaste Clothilde Chamussy, de la chaîne « Passé sauvage », accuse l’animateur de « DirtyBiology » de harcèlement sexuel. Il est mis en cause par sept autres femmes pour violences psychologiques, sexistes et sexuelles. Il « conteste totalement les accusations » relayées à son encontre.
Pendant plusieurs semaines, Mediapart s’est plongé dans les archives de la République sur la guerre d’Algérie (1954-1962), dont certaines ont été déclassifiées seulement fin 2021. Tortures, détentions illégales, exécutions extrajudiciaires : les documents montrent comment se fabrique la raison d’État, alors que l’Algérie célèbre les 60 ans de son indépendance.
Le remaniement ministériel voit l’arrivée du novice en écologie Christophe Béchu au ministère de la transition écologique et le retour de ministres délégués aux transports et au logement. Après un premier raté sur la politique agricole la semaine dernière, le gouvernement de la « planification écologique » est mis au défi de tenir ses promesses.
Eugénie a récemment raconté à un juge d’instruction le « harcèlement moral » qu’elle estime avoir subi, pendant des années, quand elle était directrice de crèche municipale et qu’elle rapportait, auprès de sa hiérarchie, des négligences ou maltraitances subies par les tout-petits.
Depuis sa réélection à la présidence de la République, Emmanuel Macron est plongé dans une profonde mélancolie. La perte de majorité absolue à l’Assemblée nationale n’a rien arrangé. Au point qu’il est question d’un « homme en fuite ». Et s’il s’était réfugié, juste à côté, au Palais Garnier ?
Emmanuel Macron a sans doute retenu la leçon de Phèdre selon laquelle « Jupiter nous a chargé de deux besaces : l’une, remplie de nos fautes, qu’il a placée sur le dos ; l’autre contenant celles d’autrui, qu’il a pendue devant » : les siennes, il les a semées et les sème encore …
Rassemblement national et Marcheurs ! flirtent juste, pour l’instant. Mais bientôt, ils feront un enfant. Bientôt, le système y verra son issue de secours. Bientôt, se dessinera la fusion du projet « national-autoritaire » et « euro-libéral ». Comment y répondrons-nous ?