« Les sabots frappaient aux portes des gens à souliers… » Château brillant pétillant, le Mix in bar en entraine d’autres, l’électro est porte-sons et paraulas aqui vènan… Donc Elle prend 1 an d’inéligibilité à la marjolaine. Passée sous le tapis, fait appel, pagara. Un BBtune ?? Bffeeeuuuuuu, du boulevard, ja en sitcom... :) Alara en faça cal bastir, soscar, trabalhar per afortir las prepausicions als ….banais et banaises lo còp que vèn. A s’aber de se far una vida aventurosa, oui òc si aussi, e i a de que far a faire e far faire, de vagues montées pointent leurs museaux, ça tangue, boule, roule, où le ? Pas la lenga, levat sul mercat, le défi est grand, le Tour de la commune en équipage affutés, hameaux très importants. Caldrià un Tabarly per barrutlar ’quò. Autrement en ville dans les bars, aux terra$$$$es, digun en parla, ou si peu.
C sans doute à cause de ça qu’un tract, ne pas jeter sur la voie publique, fut distribué aux mobiles al mercat et aux pare-brise et lunettes arrières des autos immobiles sur les parkings. « Montalbanais, votre vote est remis en cause » Un còp de mai Sœur Brigitte nous saigne sa bonne foi, en appelle à Nietzsche et « Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ».
C’est comme Marilis Orionaa. Fèda embreishada bearnésa del canton d’Ortés, chasseresse, votz dels poètes, joglaire, poëtessa, cantèt a la serada « Votz de Femnas d’Occitània » à Saint Pierre des Cuisines de Toulouse ont comencèt per un blues. Folklore toujours, un berger et sa bergère du Béarn et sa voix en jusants… Per ièu remirable. Et la suivons, l’entendons là sur le bord de la Nive, à la cathédrale de Baiona, aici amb un pau tròp reverba. Olivier Kleber-Lavigne, fils du marbrier de Saint Armou, l’accompagne à la guitare classique, grelots de pied, embruns de flamenca, nuage de lait, Georges Gastibelza musica sa carabine e la belle Isa… Et moi, nous, émois fin a la reconeissença fisica de l’evesque… Une free nana. Una del pè de la montanha ont lo cant prigond es enraiçat, ont monta lo camin, « L’amour est plus fort qu’un câble… » Pas de Trobador en Béarn, c’était avant. Ara an una Trobairitz :) Qu’escotar lo Cantic a la Verge, écrit pour elle par Roger Lapassade, grand écrivain, poète béarnais. Orionaaaaaaaaaaaaa !!!!!
Autrament siu anar au Phare de Tournefeuille, grand hangar métallique déguisé en salle de concert ont los Massilia fèstejèran amb nautres. Erèm 1200 a la lèsta a far fèsta, bolegar avec remontée à la source nourricière du reggae sound ragassaire, en òc, aici ‘lo provençal amb Tatou, Jali, Gari, MC dubèrts e pantassaires… « Parla patois ragga parla patois… » se canta aqui, fîmes le oai, le Grand, brava soscadissa a Lux B… Alors yes me suis régalé, pas tous les jours 30 ans. En même temps le son au Phare de Tournefeuille est brouillon, pegaire. Dommages car les lyrics sont à être entendus, compris, pratiqués, ce sont des propositions… :)
Billet de blog 28 octobre 2014
Ara an una Trobairitz
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