REPONSE A MES CAMARADES DE GAUCHE

REPONSE A MES CAMARADES DE GAUCHENous n’avons donc pas le choixPassifou, vous avez très bien résumé, la politique du PDG du CAC 40, car avant d’être président, il est surtout la marionnette des multinationales.Partant de là, la réponse à votre question devient limpide. Car comme vous le savez, le candidat sortant en 2012 sera celui de la campagne au plus fort budget (et comme celui-ci est directement lié au CAC40).Donc, par définition le candidat le plus éligible sera le plus à même de convaincre, non pas les électeurs, mais le CAC 40, et comme le dit si bien notre extralucide tueursnets, le futur président sera le plus apte à se prostituer.C’est un constat au premier abord un peu pessimiste, mais le plus important dans un combat est de cerner les points faibles de son adversaire. Et par définition le point faible de la droite n’est ni plus ni moins que son point fort. Il faut donc s’attaquer au CAC 40 ! Et comment ?Le CAC 40 n’existe que par ses usines extracontinentales, dont nous sommes souvent clients, alors faisons comme certaines personnes, qui pour préserver au mieux leur environnement consomment seulement des produits écologiquement corrects. Je sens les remarques venir, oui c’est un discours écologique, mais pas seulement, les altermondialistes, les gauches ont aussi ce discours et leurs combats ne diffèrent que peu de ceux des écologistes.Le but serait de créer une économie parallèle à celle du CAC 40, mais qui elle serait respectueuse à la fois des individus et de notre écosystème. Nous pourrions, chacun à notre niveau, par nos achats, favoriser cette économie. Elle ne pourrait être dans un premier temps aussi forte que les multinationales d’aujourd’hui, mais ces dernières par leur cupidité, étant bien plus bêtes que nous, ne tarderaient pas à ce jeter dans cette nouvelle économie.Soyons bien sur que ce n’est pas le CAC 40 qui fait la France, mais bien nous, par nos achats, c’est nous qui faisons le CAC 40, CHANGEONS NOS COMPORTEMENTS, ET SOYEZ EN CERTAINS NOUS GAGNERONS, et de plus nous sauverons, non pas la planète, mais l’espérance de vie qu’elle voudra bien nous accorder.