(3/3) La véritable nature de l’Art
La plupart des gens ne voient pas les couleurs correctement (c’est probablement votre cas cher lecteur, le saviez-vous ?) parce que le modèle qu’ils se sont forgés, qui régit leur perception, trahit de nombreux défauts rédhibitoires. Ils ne s’en aperçoivent pas et croient pouvoir s’abriter derrière l’idée répandue que le domaine appartiendrait à la subjectivité. Chacun aimerait certaines couleurs et pas d’autres. Il en est qui voient telle nuance comme un bleu, d’autres comme un vert… Pour certains, cette couleur irait avec celle-là, alors que d’autres insistent qu’elles “jurent”. Histoire de goût, histoire de code ?
Il est vrai que la quasi-totalité des ouvrages sur la couleur, qu’ils se présentent comme l’illustration de recherches “scientifiques” ou seulement l’exposé d’une méthode pratique pour les peintres débutants, fourmillent de contre-vérités. Ces livres reproduisent invariablement le copier-coller des mêmes erreurs. Serait-il possible de corriger tant d’errements ? Nous allons voir germer pour se résoudre l’essentiel de ces problèmes en parcourant et prolongeant Roger de Piles.
Il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous pour voir apparaître le PDF :
http://www.mediapart.fr/files/LIntelligence_de_lArt_3___.pdf