Quarante années de luttes stériles, d'abandons sans contre-parties de conquêtes sociales si chèrement arrachées.
Tout ça pour quoi ?
> Un chômage de masse
> Une précarité sans précédent
> Des emplois qui maintiennent dans la misère
> Le leurre d'un plein-emploi qui ne viendra jamais
Il nous faudra bien nous décider à sortir de ce piège de dupe, si l'on veut espérer espérer un jour, travailler "normalement".
Nous disposons déjà d'institutions puissantes nous permettant de nous émanciper de ce chantage permanent, encore nous faut-il nous en saisir et reprendre l'offensive, comme l'a fait la classe ouvrière au cours du XXè siècle. C'est sur leurs luttes que nous "vivons" aujourd'hui avec les conséquences dramatiques de décennies menées sur une posture défensive.
L'emploi et le chômage sont les deux faces d'une même pièce, dans la main d'un "patronactionnaire" prédateur, usant et abusant d'un pouvoir sans cesse élargit par la classe politique réformatrice.
Les pistes à explorer existent, elles sont conséquentes au sein même de nos institutions, voyons-les pour ce qu'elles représentent comme tremplins.
Parmi les protagonistes éclairés qui ont mis sur pied #OnVautMieuxQueÇa le vidéaste USUL a produit un formidable travail; à partir des thèses développées par Bernard Friot et Réseau Salariat; relatant un des axes les plus prometteurs en terme d'émancipation :