À celles et ceux qui pensent que le mouvement Nuit Debout a vécu, il n'est pas improbable qu'à plus ou moins brève échéance, ils doivent réviser leur jugement...
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Nos trafiquants d'ultra libéralisme, ont certes, remporté une première bataille, sans péril, sans gloire et dans le déni le plus total des libertés populaires et syndicales.
Sur un mode exclusivement répressif, liberticide et autoritaire, notre belle gauche a su rester bien droite dans ses bottes.
Usant jusqu'à la corde de la "menace terroriste" pour s'assurer un cadre juridique d'exception, nul ne peut plus ignorer à présent, jusqu'où ces mercenaires seront capables pousser la forfaiture.
Mais les esprits sont vifs et ils apprennent vite, très vite !
Pas certain que l'oligarchie soit à même d'opposer pareille vivacité, compte tenu des méthodes éculées qu'elle met en œuvre. Si ce centième jour, peut apparaitre "symbolique" ce qu'il contient au travers des mobilisations populaires sur les cinq continents, ne tardera pas à définir de nouvelles formes d'exigences démocratiques et progressistes.
La seconde étape qui s'annonce à la rentrée de septembre, sera décisive en tout cas en France, compte tenu de la séquence électorale qui s'ouvrira en fin d'année, nous serons dans une situation inédite en terme d'agenda croisé : conflits sociaux d'ampleur / élections majeures.
Un peu plus passionnant qu'un match de foot, comme perspectives, non ?