S'il était de mise de rester circonspect sur l'accord clôturant la COP 21, les plus optimistes y ont été pour leurs frais.
De toute façon, les lobbys pétroliers et financiers n'entendent pas se laisser dicter la moindre contrainte d'ordre environnementale, fût-elle pour espérer sauvegarder l'espoir d'une vie humaine possible sur cette planète.
En s'organisant gentiment entre "honnêtes gens", ces busards ce sont entendus pour un cours du baril au plus bas pour la décennie à venir (aux alentours des 30$ le baril). De quoi sabrer tout espoir d'investissements massifs dans le développement d'énergies renouvelables, la concurrence libre et non faussée de l'énergie réduisant ainsi à peau de chagrin les orientations alternatives.
Il n'aura échappé à personne ce tonnerre de réprobation de la part de nos dirigeants Européens, si prompts à exalter leur profond attachement à la cause environnementale... Sans doute savent-ils que l'on ne peut pas ménager la chèvre et le choux à la veille de la ratification du Traité Transatlantique.
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