D’où sont ces bruits qui viennent d’ailleurs
Sont-ce des cris, sont-ce des pleurs
Le vent ne ferait que porter le malheur
Le vent d’ OTAN
La chrétienté n’a pas de sauveur
Pas plus que l’islam n’est la meilleure
Ces sommités n’ont qu’à se pendent ailleurs
Du vent, tyrans
Qui a tiré le premier
Qui de nous saura s’arrêter
A trop courir après le bonheur
On en oubli des autres le malheur
Ils nous réveillent par des cris d’horreur
Le vent s’étend
L’argent ne fait donc pas le bonheur
Il est pourtant la clef de tous nos malheurs
Laissons le déborder de nos coeurs
Qu’il sème, le vent
Qui a tiré le premier billet
Qui saura nous en débarrasser
Si je m’éloigne de mon frère, de ma soeur
Si mes pensées, mes fois s’écartent des leurs
Le sang ciment
Est-il besoin d’arracher des pétales de fleurs
Pour savoir si quelqu’un est dans son coeur
Les charentais aussi ont droit au bonheur
Pourtant, … pourtant
Qui va être le premier
Qui de nous saura exister
Sans juger, sans peser sur les autres