Ah Charia, Charia, Charia !

Cela doit raviver quelques tristes souvenirs à nos vétérans soixante-huitards, cette majorité silencieuse qui s'exprime au lendemain du printemps arabe.

Elle s'exprime non seulement à travers les urnes, mais aussi via les réseaux sociaux, le même média qui avait permis de déclencher et propager les mouvements libérateurs d'il y a quelques mois. Et Charlie-hebdo en fait actuellement les frais !