Le conflit artificiel du sahara occidental marocain a touché irréversiblement à sa fin dans le fond.
Dorénavant, c’est juste une question de mettre les formes à cette ineptie historique en agonie et en phase de finalisation.
Un épineux frein au développement de toute la région avec des risques certains en matière de trafics en tous genres.
Une région de plus en plus sensible où le terrorisme fait rage et l’instabilité qui n’est plus un simple risque mais plutôt un fait avéré.
Est-il besoin de rappeler qu’au début du conflit, en pleine guerre froide, initié par Kadhafi et pérennisé par la junte militaire algérienne et ses acolytes, à coup de milliards de dollars, plus de 85 pays avaient reconnu un jour la RASD pour se retrouver à peine une vingtaine actuellement ?
Combien de siècles encore faudrait-il pour revenir à 85 reconnaissances d’antan pour cette entité fantoche?
Comment la junte militaire algérienne pourrait-elle faire valoir le droit international alors qu’elle a reconnu et promu un état folklorique en dehors du droit à l’autodétermination du ‘’peuple sahraoui’’, et ce, en dehors du référendum, désormais désuet, qui était saboté en faveur d’un statu quo qui n’a plus droit de cité dans un monde en plein mouvement et en pleine reconfiguration?
Quant au droit international piloté par les grandes puissances du moment, ces dernières ont franchement pris position pour la thèse marocaine qui a mis au goût du jour l’acte et le serment d’allégeance ‘’Al baïa’’ ignorés par le monde contemporain et pourtant si significatif pour le Royaume Chérifien, le plus ancien et le plus authentique de l’Histoire.
Le meilleur est à venir…