Les faits sont têtus, et la géopolitique finit toujours par les consacrer.
La Fédération de Russie vient d’adhérer au projet marocain de désenclavement des pays du Sahel, un projet structurant, porteur d’avenir, qui consacre le Maroc comme pivot africain et trait d’union entre l’Atlantique, la Méditerranée et le Sahel.
Ce ralliement russe n’est pas une simple formalité diplomatique : il acte un alignement stratégique qui, au prochain Conseil de sécurité présidé par Moscou, fera voler en éclats les illusions des nostalgiques de la guerre froide et des ennemis de l’intégrité territoriale du Royaume.
Car dans les faits, la reconnaissance est déjà acquise. Le nouvel accord de pêche russo-marocain, reconduit pour quatre années, couvre toute la façade atlantique jusqu’à Lagouira. C’est une reconnaissance pleine et entière de la souveraineté du Maroc sur son Sahara. À cela s’ajoutent des accords dans les secteurs agricole et énergétique, dont un partenariat d’envergure avec Rosatom, fleuron mondial du nucléaire civil, qui opère jusque sur le sol américain. Un choix qui en dit long : les grandes puissances traitent avec le Maroc non pas par courtoisie, mais par respect.
Pendant que certains régimes de la région s’enferment dans la stérilité diplomatique et la manipulation idéologique, le Maroc avance, bâtit et rayonne. Il tisse des alliances solides, diversifie ses partenariats et s’impose comme un interlocuteur incontournable pour les puissances de demain.
Et si le projet américain sur le Sahara marocain est validé par le Conseil de sécurité et érigé en résolution, le débat sera clos : l’affaire du Sahara ne sera plus une question à négocier, mais un acquis à protéger. Trois des cinq membres permanents du Conseil de sécurité, au moins, garantiront, par leur veto, l’irréversibilité de cette réalité.
Quant à la Chine, elle n’a pas besoin de mots : ses milliards d’investissements parlent pour elle. Elle a compris que le Maroc est la clé de voûte de la stabilité africaine et le passage obligé vers les marchés américain et européen. Les grandes nations ont choisi leur camp : celui de la clairvoyance et de la prospérité.
Face à cela, les cris d’orfraie des adversaires du Maroc sonnent creux. Ils s’agitent, signent des pétitions et des communiqués sans effet, adressent des lettres sans écho. Le monde avance, et eux restent prisonniers d’un passé révolu.
Le cinquantenaire de la Marche Verte ne sera pas seulement une commémoration historique, mais l’affirmation d’une victoire politique, diplomatique et morale sur toutes les manœuvres hostiles.
Le Maroc, sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, n’a plus rien à prouver : il inspire, il entraîne, il incarne la dignité d’une nation debout.
Et pendant que d’autres fabriquent des mirages, le Royaume bâtit l’histoire.
Vive le Maroc éternel, uni, souverain et maître de son destin.