Depuis l’Alger des années 80, où elle grandit, en passant par son arrivée à Grenoble en 1990, Djazia Satour n'a que 19 ans lorsque le groupe MIG se forme autour d’elle et deviendra pendant six ans un incontournable de la scène électro française.
Mais c'est dans une carrière solo que Djazia se découvre et se dévoile aujourd'hui, dans une musique qu'elle qualifie de plus "chaude", où le côté parfois froid de la musique éléctronique cède la place à une découverte épanouie de différentes styles et genres...
Lauréate du Fair pour l’année 2011, elle reçoit une véritable reconnaissance de la profession.
Elle a signé en 2010 un premier EP de 6 titres, Klami, entièrement auto-produit...
On peut lire sur son site web ce resumé de Didier Gaillard-Hohlweg:
S’affranchissant des contraintes de style, Djazia nous livre une fusion des genres qui s’affirme comme sa marque de prédilection. Elle chante en arabe et en anglais des mélodies aux accents blues et nu-soul (Klami, Voodoo Night). Avec Stories et Unknown, sa voix solaire se saisit des musiques black américaines et les porte hors des sentiers battus… Lorsqu’elle se réapproprie les rythmes traditionnels maghrébins dans Temet Liyam, c’est pour y ajouter une touche dont elle seule a le secret. M’sira, dernière pépite de ce disque, fait résonner un groove arabe inédit dans un écrin de cordes inattendu.
Ce premier disque a bien le goût d’une liberté artistique explosive et sans concession, se donnant, en guise de cap, une inspiration qui se renouvelle à chaque pas et qui est à découvrir à l’occasion des concerts, tout au long de l’année qui vient…
© Didier Gaillard-Hohlweg
Avec Mig :
Et en "solo", dans un tout autre style...
Un interview virginmega.fr sur Dailymotion...
L'écouter chanter, ça fait du bien...
jamesinparis