peut etre un peu ringarde,mais les journalistes parlaient un français convenable, à une vitesse raisonnable.
Maintenant c'est la course interminable,un mélange inaudible,surtout sur France- Inter de gamins et de gamines surexcitées
qui crachouillent des choses incompréhensibles.
A peine tiré du lit on vous traine en Libye ou ailleurs ,sans ménagement:alors l'envie de tourner le bouton est la plus forte
devant cette urgence factice,proférée par des journaleux bourrés de cafés.
Précipitation dénuée d'utilité,d 'autant que les émissions vraiment utiles et informative sur le fond d' un sujet sont
rares.Les nouvelles aujourd'hui sont de préférence catastrophique,et l'humour ne semble pas etre enseigné dans les écoles
de
journalisme.Ecoutez les bons journalistes,il y en a ,ils parlent de façon distincte(ce qui n'est plus à la mode) et à une
vitesse raisonnable.
Mes petits retournez à l'école!