j.dachary

Abonné·e de Mediapart

2 Billets

0 Édition

Billet de blog 20 juin 2011

j.dachary

Abonné·e de Mediapart

Les dérives langagières

j.dachary

Abonné·e de Mediapart

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Vous ecrivez dans l'edition du 20 juin dans le cadre de l'affaire DSK:

"Mais les procureurs de la Sex Crimes Unit chargés d'accompagner et de crédibiliser le témoignage de la victime présumée ont fait leurs preuves.""

La notion de "coupable présumé(e) " tient la route tant que la preuve de culpabilité n'a pas été apportée.

La notion de "plaignant(e) tient la route car il s'agit d'une position jurudique.

Je n'avais jamais lu l'expression de 'victime présumée' pour désigner un plaignante. Sur quelles position juridique s'appuie cette appellation? Ne s'agit il pas tout simplement d'une expression indue visant à décrédibiliser une plaignante?

j.dachary@wanadoo.fr

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.