Sous ses airs d'éminence grise de série B, Cambadélis s'est toujours trompé : en quittant de l'OCI, en suivant Bianco, au bureau de la Mnef, comme conseiller d'un fasciste, en devenant sénateur, en suivant Jospin.
On parie sans risques excessifs que ce stratège de pacotille se plante encore en jouant "Anne, ma soeur Anne, ne vois-tu pas DSK venir".
Le cavalier pas si blanc de Camba, lui même peut-être pas immaculé, le directeur du FMI, affameur de la Hongrie, de la Grèce et de bien d'autres ne viendra sans doute pas.
C'est tant mieux : les Français n'auront pas à le chasser par leur vote.