Le 12 février, le lendemain de la victoire du peuple Egyptien sur leur dictateur, François Fillon, à Ryad, fait un éloge de Moubarak.
Comme la veille de la chute de Ben Ali, Mitterand-le-petit et Delanoe,k maire de Paris, nous le présentent comme un gentil président qui fait des efforts et des concessions pour plus de démocratie.
Ces gens-là n'ont aucune décence et ne s'en excuseront pas en espèrant que le peuple oublie leurs paroles.
Hélas, de tout cela, nous nous souviendrons toujours, car dans le cours rapide des révolutions, on n'oublie jamais les fautes.