Vidéo « l’arène de France » avec Stéphane Bern Les Archives nationales britanniques viennent de déclassifier des centaines d’observations d’OVNI.L’un des cas les plus curieux a eu lieu à la fin de la seconde guerre mondiale : un avion de reconnaissance de la Royal Air Force a été rattrapé par un objet métallique qui a ensuite volé un moment avec lui, avant d'accélérer et de disparaître…L'incident aurait été évoqué lors d’une réunion entre Winston Churchill et le général Dwight Eisenhower, commandant des forces alliées.Le Premier ministre britannique aurait déclaré : "Cet événement devrait être immédiatement classé secret défense car cela provoquerait une panique massive parmi la population et réduirait à néant la croyance dans l'Eglise".Intéressante réaction…Est-elle toujours justifiée ?...Assez vraisemblablement oui !...Il y a une multitude d’observations d’OVNI qui ont faites par les pilotes civils et militaires durant les dernières décennies. Une compilation a été établie par Dominique Weinstein qui a dénombré 1400 cas sur un siècle, dont 20 % sont corrélées par un écho radar.Curieusement, les différentes « vagues d’OVNI » correspondent aux moments de notre histoire, au début des années 1950 et 1960, où il y avait eu le plus grand nombre d’explosions nucléaires (ref : Troubles dans le ciel de Jean Jacques Vélasco). Les Extraterrestres seraient-ils inquiets de nous voir développer des armes atomiques ?...Les observations d’OVNI sont étudiées par le Centre national d’Études spatiales (CNES) au sein du Groupe d'études et d'informations sur les Phénomènes aérospatiaux non identifiés (Geipan).D’autre part, l’association des anciens élèves de l’Institut des Hautes études de la Défense nationale (IHEDN) a remis en 1999 au Président de la république (Jacques Chirac), ainsi qu’au Premier ministre (Lionel Jospin), une étude intitulée « Rapport Cometa » qui conclut qu’une origine extraterrestre de certains d’OVNI ne peut pas être exclue.Et puis je dois avouer que j’ai été directement confronté par ce surprenant phénomène puisque j’ai pu observer un OVNI, le 28 janvier 1994, alors que j’étais commandant de bord d’un Airbus 320 d’Air France, lors d’un vol entre Nice et Londres (je suis en retraite).Je développe un peu cette rencontre qui m’a valu d’être entendu par le Cometa, de participer à une dizaine d’émissions TV, et d’avoir un Prime Time sur CNN après une conférence au National Press Club à Washington D.C. en novembre 2007.Nous étions en croisière à l'altitude de 11700 m, et c’est à environ 20 km au Nord-Ouest de la balise de Coulommiers, à 13H14, par d'excellentes conditions météorologiques, que le steward présent dans le poste a signalé un objet qui lui paraissait être un ballon météorologique. Cette observation a été aussitôt confirmée par la copilote, qui a identifié, elle aussi, cet objet comme un ballon météo. Puis je l’ai identifié comme un avion en virage à 45° d'inclinaison - ce qui est tout à fait anormal à cette altitude en raison du risque de décrochage.Très rapidement nous avons constaté que ce que nous voyions n’était ni un ballon météo, ni un avion, ni rien d’autre de connu, et que nous étions bel et bien face à un OVNI en raison de l’apparence ahurissante de cet « objet ».Après un moment de surprise, et d’incrédulité, nous nous sommes rassemblés sur le côté gauche du cockpit pour observer cet incroyable phénomène.La visibilité illimitée, et la présence d'altocumulus, nous ont permis d'estimer que ce que l’engin que nous observions était à l'altitude de 10500 m – un peu au-dessous de nous - et à une distance d'environ 25 miles nautiques, soit 47 km.Compte tenu de son diamètre apparent, nous en avons déduit qu’il avait une taille gigantesque car un aéronef est impossible à distinguer à une telle distance. Il avait la forme d’une gigantesque lentille, de couleur rouge sombre, avec des contours flous, et nous l’avons observé sur la gauche de l’appareil, pendant plus d’une minute, toujours à environ 50 km, car elle semblait immobile dans le ciel.Mais le plus étonnant est que cet engin a disparu progressivement, en 10 ou 15 secondes, comme s'il s’était dématérialisé.Vous pouvez imaginer notre stupéfaction !...Après nous être concertés, et conformément aux règles de l’Air, nous avons fait un compte-rendu au centre de contrôle de la Navigation aérienne de Reims qui nous a indiqué n'avoir aucune information sur une présence d’aéronef à l’endroit indiqué. En application de la procédure existante, le Centre de Reims a informé de notre observation le Centre d'opérations de la défense aérienne (CODA) de Taverny.Puis, au retour à l’aéroport Charles de Gaulle, le chef pilote A 320 m’a demandé de rédiger un rapport. Mais je ne l’ai pas fait car les caractéristiques de cet OVNI étaient totalement inconcevables, et que, surtout, je n’avais jamais eu d’information sur ce type de phénomène dans ma carrière.Ce n’est que trois années plus tard, en 1997, en lisant un article dans la presse, que j’ai appris que le CODA avait enregistré au même moment une piste radar au centre de contrôle de Cinq-Mars-la-Pile et qu’elle correspondait, en lieu et en heure, au phénomène observé.J’ai alors décidé, compte tenu de l’existence de cet écho radar, d’envoyer un rapport à la Gendarmerie qui l’a ensuite transmis au Sepra (CNES) ainsi qu’au Cometa.Lors d’une réunion du Cometa à l’École militaire, en mars 1997, j’ai eu la confirmation que la piste radar d’un objet inconnu avait bien été enregistrée pendant 50 secondes et qu’elle croisait à moins d’un mile nautique (1852 m) la trajectoire de l’Airbus.De plus, le phénomène avait disparu, au même instant, de la vue de l'équipage et du scope radar.Les investigations menées par le CODA ont permis d'exclure l'hypothèse du ballon météorologique et de connaître la distance précise de croisement des deux trajectoires radars. La taille de l’OVNI a été évaluée, lors de cette réunion, à environ 250 mètres.Plus tard, en reportant la position visuelle de cet OVNI sur une carte aéronautique de la région parisienne, je me suis rendu compte que l'objet identifié se trouvait dans un rayon d’environ 5 NM (9 km) de la verticale de Taverny, où se trouvait à l’époque le centre de commandement stratégique nucléaire de la défense !...J’ai alors réalisé progressivement qu’un gigantesque vaisseau galactique s’est vraisemblablement matérialisé, puis dématérialisé, au-dessus de Paris, en début d’après-midi, le 28 janvier 1994.Les Extraterrestres feraient-ils du tourisme galactique ?...A moins que, de cette façon, ils désirent montrer leur puissance technologique mais aussi nous mettent en garde contre nos fâcheuses tendances à accumuler des armes nucléaires.Jean-Charles DUBOCBlog des Sciences Exopolitiques
263 Billets
0 Édition
Billet de blog 9 août 2010