"Un onze de France prometteur ?"
(c'est le titre de la campagne promotionnelle)
Avertissements :
Contrairement à d'aucuns et même à plusieurs, voire à beaucoup (beaucoup trop en fait), il ne sera pas question ici de tomber dans la facilité.
Non, nous ne nous laisserons pas aller au dénigrage conceptuel et laborieux ni à l'argumenterie marxisante poussive.
De même ne sera-t-il aucunement question de dézinguer sans dicernement à la méthode dite de la sulfateuse.
Les frappes seront au minimum chirurgicales et à l'occasion délicatement choisies.
Ce qui n'empêchera aucunement les tirs groupés.
Par mesure d'économie.
Donc, après la séance d'entrainement organisée et retransmise par BFMtv, il convient de débriefer et de passer l'effectif en revue avant le match de qualification.
Chacun et chacune est prié d'y aller de la sienne ou de celle d'un ou d'une autre, mais en toute franchise et sans retenue aucune.
Mais il faut préalablement et tout d'abord ; noter qu'en dépit de quelques fulgurances individuelle d'autant plus méritantes, le spectacle donné fut inquiétant.
Nous sommes selon toute vraisemblance au bord de l'épuisement démocratique national.
Nous avons eu droit au spectacle d'une équipe de France qui tourne en rond.
Une équipe ringarde qui à quelques exception près tourne en rond autour de son nombril et de ses égoïsmes, autour de ses peurs, de ses nostalgies et de ses culpabilités.
Sauf miracle, ça ne présage vraiment rien de bon. Il y a de quoi être très inquiet.
Y'a qu'à voir ici.
Alors avant de passer au cas par cas, sans hésiter aucunement et vu qu'ils sont et de loin les plus nombreux, 7 en tout, nous attibuons la responsabilité collective de ce désastre annoncé à tous les joueurs de droite et plus ou moins assimilés selon leur état d'égarement observable à l'oeil nu (au microscope, vaut mieux pas, ça fout la trouille).
Soit un handicap d'environ -5 sur 20.
Attribué sur la ligne de départ et unilatéralement sans discussion aux impétrants suivants :
François Fillon : ci-devant aspirant châtelain fourbe et cauteleux, commandeur dans l'odre de la grande truanderie jésuitico-réac.
Marine Le Pen : la truffasse gougnafière, truande de seconde zone en cavale, et au demeurant très menteuse.
Jacques Cheminade : l'éternel azimuté tendance illumination sans restriction à tous les étages
Nicolas Dupont-Aignan : l'éternel et néanmoins indispensable inutile
Jean Lassale : le nouvel azimuté clou du spectacle tendance 2017
François Asselineau : le blaireau tricolore, mais roublard.
Emmanuel Macron : le joueur de pipeau véliplanchiste sur pente savonneuse.