Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
En guise de délibération citoyenne, Les spéculations courent et ruissellent vers 2012. Plus que jamais le parti des bookmakers a le vent en poupe. C’est le spectacle des spectateurs qui jouent la comédie qu’ils applaudissent. La mise en abyme de la République. C’est la République des cyniques. Et pendant ce temps, le monde va, Divaguant, Aux mains des gangsters. Sans boussole. Sur l’agora, ouverte aux quatre vents, nous ne nous sommes pas choisis, Ce pourrait être notre force. Il ne tient qu’à nous. C’est peut-être une question de timidité ? Ou de fragilité ? Ou de peur ? Mais comme une matrice, Le refuge du temple aux idoles nous tient chaud. Et nous y fuyons inutilement nos peurs. C’est comme un enfant qui ne voudrait pas grandir. C’est comme un adulte qui ne veut pas naître. C’est comme une promesse refusée.
Et pendant ce temps la République fout le camp.
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