belle envolée dans cet article qui prédit la reprise de l'épidémie en fin de confinement.
Mais une case est ici vide, volontairement probablement : que se passerait-il si on apprenait à côtoyer le virus, comme on a appris à côtoyer le paludisme,?
la diffusion pour tous de doses individuelles de sulfate d'hydroxychloroquine ne ferait pas disparaître le virus, mais ferait disparaître l'infection, le temps de chercher des moyens de ne plus avoir besoin de cette protection.
Il est ahurissant de voir , que dans la presse même la plus indépendante, absolument personne ne soutient cette idée pourtant d'évidence et qui a souvent été pratiquée pendant les pics du paludisme.
Bien plus efficace que le confinement, économiquement 1000 à 300.000 fois moins coûteuse, la protection faute de mieux par le sulfate d'hqn
donnerait le temps de penser autrement qu'en termes qui ne conduisent qu''à sacrifier des franges de la population, "les plus fragiles" ,...
Dans le même temps, le dépistage précoce permet un traitement sans souci, pourquoi en est-on encore à acheter plus de masques de fin de vie que de moyens de dépister et de stocks de vrai traitement?.
Pourquoi accepte-t-on que les assassins au pouvoir freinent par tout moyen la mise à disposition, au moins des médecins de viele , via les pharmacies, des médicaments nécessaires , pourquoi les réserve-t-on aux cas graves, pour lesquels le traitement vient en général bien trop tard?
ne serait-ce pas parce que les traitements de fin de vie coûtent environ 1000 fois plus cher (entendre mille fois plus de bénéfice pour les labos)
et cerise sur le gâteau, résorbent une partie du problème politique des retraites!
Je veux bien comprendre que les stocks de traitement d' hydroxychloroquine sulfate+ azythromycine+ sulfate de zinc sont insuffisants pour tous, mais au moins qui'on administre de suite des doses préventives aux plus fragiles!
même les labos qui travaillent usuellement pour le docteur bobo peuvent s'y mettre, plutôt que de pointer au chômage, et il ne faudrait pas longtemps pour que la production mondiale soit doublée, ce qui serait suffisant.