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Billet de blog 7 novembre 2017

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Nous sommes TOUS devenus des gérants de portefeuille!

Le néocapitalisme a trouvé l'arme absolu pour contrer la lutte des classes pourtant toujours à l’œuvre. Transformer le prolo en capitaliste!

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Illustration 1

Ils étaient optimistes. Les deux grandes guerres étaient finies... Ils ont résisté, ont été dans les camps. Une part d'entre eux sont revenus. Tous disaient "plus jamais ça".

Beaucoup étaient communistes. Ils savaient la part importante qu'avaient joué les intérêts de la grande industrie dans l'origine de celles-ci... Et donc le cynisme exécrable et meurtrier du capitalisme.

Il y a eu le Conseil National de la Résistance...

Ils croyaient même que le capitalisme c'était fini...

Y compris les tenants de cette idéologie néfaste et meurtrière (*) qui, eux, se sont très vite cachés derrière le faux-nez du libéralisme... C'était sympa... Le terme renvoyait à l'époque des Lumières... Sans en avoir l'esprit! Ça renvoyait à l'idée de liberté. Leur "liberté" de gruger, d'exploiter et de mentir, évidemment!

Illustration 2

Le capitalisme était en crise... Beaucoup des "premiers de cordée" de l'époque s'étaient aventurés, durant les années précédentes, sur des voies pour le moins équivoques. Mais ils n'avaient pas "dévissé"... Leur fric et leurs relations leurs avaient servi d'armure au moment des règlements de compte...

Pour ceux là, il était urgent de réformer le monstre rigide qu'était, dans les années 45-50, le capitalisme.

Des crânes d’œuf, tel Hayek, considéraient que le socialisme (compris dans le sens de l'époque - donc exempt des scories sociales-démocrates!) conduirait immanquablement vers l'étatisme total... Les petites interventions successives sur les mécanismes du marché que prônaient les sociaux-démocrates conduiraient tout droit à la "servitude" des "grands aventuriers" que sont les capitalistes. L'état faussant la mythique "main invisible" du marché qui sans l'intervention étatique générait le tout aussi mythique "ruissellement" vers les classes laborieuses, sages, disciplinées... L'impact de l'état sur le marché qui n'était plus "libre et non faussé" était, selon ces théoriciens, forcément négatifs. Et ils considéraient que celles-ci conduiraient, de corrections en corrections successives vers un état abominablement partageux dirigeant tout... Le communisme ma chère! L'horreur selon Hayek! Haro donc sur la notion d'état centralisé!

Illustration 3

Les nouveaux capitalistes, transformés en "sympathiques" néolibéraux, décidèrent, entre 1945 et 1950 de réagir. Ils construisirent un super de super programme salvateur.

Premièrement, ils affirmaient, tout de go, que de laisser faire la "main invisible du marché" ce n'était pas suffisant! Car ils considéraient, comme toujours, que les marchés représentaient la forme parfaite de la construction "sociale", pour eux. Bref toujours cette idée faussée de liberté... La liberté de voler, gruger mentir afin de faire, eux, le plus de profits... Les autres "on" verra plus tard... Construction "sociale" certes, mais sans en être la forme "naturelle"...

Illustration 4

Ils décidèrent donc de pénétrer les sphères étatiques, d'y envoyer des taupes afin non pas pour protéger et augmenter l'action sociale équitable, la seule vraie, mais pour chouchouter leurs bien trop "fragiles" marchés... Hum...Humm... Et les sortir de l'emprise de la "démagogie" socialiste!

Ce socle idéologique qui sera mis en place, avec componction et populisme, durant la cohabitation Mittérand-Chirac, succédant à la création de l'impôt le plus crapuleux et injuste jamais réalisé, la TVA, fruit des élucubrations du diamantaire à la particule achetée, Giscard d'Estaing... Cela sans qu'il y ait de manifestations "excessives" de la part des partis et des syndicats (ils avaient eu tellement "chaud" en 68)... Dès lors on pouvait dire gôche ou droite: tous dans le même sac!

Les néolibéraux donc empruntent, ou plutôt clonent, s'accaparent l'idée d'état non pas pour protéger les travailleurs mais pour protéger les "fragiles" marchés (hummm..) et les "premiers de cordée" que sont les spéculateurs...

Illustration 5

Deuxièmement. C'est une autre idée qui constitue le fondement du néolibéralisme. Au sortir de la guerre le pays est dans une situation où l'évolution sociale et la redistribution s'effectuent de plus en plus équitablement (Sécu, droit de vote des femmes, protections politiques et syndicales...). Trouille des capitalistes évidemment. La justice ça leur fout la trouille!

La conscience de classe des travailleurs est alors plus vive que jamais. Les salariés sont partout majoritaires dans les instances de décision. La droite capitaliste minoritaire cherche des idées et des relais pour sauver ses intérêts. Rustique, voir reptilienne, leur interrogation se résume en ces termes: comment faire pour sauver nos intérêts, s'en mettre à nouveau plein les fouilles et plumer au maximum les "sans capital", ceux qui ne possèdent pour tout bien que leur force de travail, autrement dit les prolos? Ceux dont les salaires vont bientôt être désignés sous le "joli" terme de "coût du travail"!

Illustration 6

Wilhelm Röpke, économiste fondateur de l'ordolibéralisme (dites le trois fois sans postillonner!), a une idée "géniale": déprolétariser les salariés, faire en sorte qu'ils cessent de s'identifier à leur classe de prolétaire... La méthode? Les amener à s'identifier en tant qu'entrepreneurs eux-mêmes... Entrepreneurs, oui, mais avec des parenthèses!

Illustration 7
Wilhelm Röpke

Contrairement aux libéraux classiques (façon Schlumpeter) qui disaient que les entrepreneurs sont les "héros de notre société" (termes repris par Sarko, Valls et l'alpiniste Macron) Röpke constate que c'est de fait une "classe", certes, mais très peu nombreuse et donc minoritaire par nature... Peut-être des héros... Oui... Mais très minoritaires! Pour lui il faut que les travailleurs se comportent, se mettent à penser comme de gros et gras capitalistes... Ainsi les "héros" deviendront majoritaires, virtuellement, évidemment! Faut pas charrier!

Les réformes les plus importantes, aux yeux des néolibéraux, sont celles qui remplissent cet objectif: mise en place, sous influence européenne, du statut des micro-entrepreneurs (2003 sous Chirac) et plus récemment uberrisation (Macron). Cela gonfle les têtes, rends docile à l'idéologie capitaliste, favorise l'individualisme... Qu'importe si les personnes soumises à ce dogme soient des esclaves à tout faire, mal payés et qu'elles crèvent de faim! Car c'est bien ce que l'on constate dans tous les pays où les croyances de Röpke ont été appliquées: les Etats Unis de Reagan, l'Angleterre de Tatcher, l'Allemagne de Merken et l'on peut même anticiper, la France de Macron! Les gros deviennent plus gros - et moins nombreux - tandis que la pauvreté de la population laborieuse s'accroît!

Illustration 8

A cela s'ajoutent d'autres leviers: accès à la propriété individuelle (les maisons Borlo quel bel exemple... Pas chères à l'achat (mais le coût du terrain extrêmement surévalué et payable au bout de sept, dix ou douze ans -exemples dans ma commune). Passage des prestations dévolues à la Sécu vers les assurances privées (justifiant une réduction du budget de celle-là et l'augmentation des coûts de celles-ci). Et évidemment le projet sacripan : remplacer la gestion des retraites par répartition (garanties) par la capitalisation gérée par le privé.  Exemple:  des fonds de pension qui spéculent sur l'argent qui leur est confié par le travailleur et sont donc soumises aux fluctuations des marchés (virtuels évidemment!)... On sait ce qu'a donné ce dernier régime aux USA par exemple... Bref des pensions qui fluctuent au rythme des aléas de la bourse, de la spéculation...

Illustration 9

Ainsi intoxiqués par une idéologie dogmatique relayée par des médias tenus d'une main de fer par le grand capital, les gens se forgent l'idée d'un capital imaginaire (car pour en bénéficier ils doivent emprunter, s'endetter toute leur vie). Et ils essaient même, en bon néocapitalistes, de rentabiliser leur capital par des placements spéculatifs non productifs en biens nécessaires à la société (cf. toutes les pubs agressives que l'on croise sur internet!) Comment ce petit peuple exploité, méprisé, remplaçable à merci, donc soumis à une nouvelle forme d'esclavage (cf. le reportage sur les travailleurs de Lidl...) pourrait-il se révolter?

Menacé de la perte de son emploi ou de la faillite il se tait, ne se syndicalise pas et rejette en bloc tous les partis de gauche: car bombardé par les idées néolibérales assénées en permanence par les médias, il se voit déjà, costume trois pièces, patron... Faisant fi de toute pensée sociale, écologiste, égalitaire et générant chez l'intoxiqué-exploité, le "bon" vote.

Oui, il va voter comme le souhaitent les manieurs de ficelles, les chiens de garde ayant leurs entrées dans les palais et autres lieux élitistes, plus ou moins clandestins, où se réunissent les gens de pouvoir...

Illustration 10

Dans le même temps se profile en parallèle une autre évolution qui semble paradoxale au regard de la première... Les banques et les très grands lobbies qui étranglent la société, ces riches extrêmes, tout ceux-là restent convaincus par l'idée capitalistique classique. Ils savent que ce ne sont pas les entrepreneurs, moulés au néolibéralisme (start-up, micro-entreprises, PME), qui tiennent les leviers du capital: ce sont les actionnaires... Les parasites qui jettent le fric dans la marmite boursière sans que cela ne soit bénéfique à la société.

Voici donc que surgit, face aux deux acteurs du 19 ème siècle, salarié et patron... l'actionnariat!

Ce nouveau capitalisme sort complètement de la sphère productive. Tout est réglé en apparence par les actionnaires, en réalité par le patronat qui détient toujours la majorité des actions.

Dans les années 80 avec les duettistes Reagan &Thatcher, le programme néolibéral est appliqué à fond.

Les prolos devaient devenir des entrepreneurs... Et même des entrepreneurs de soi (Michel Foucault) ! Ainsi tous les aspects de notre existence seraient assimilés à un business, à une entreprise...Questionnement type: quels intérêts financiers aurais-je si je participe à telle action, si je me marie ou pas, si je fais du footing ou de l'aviron, si j'achète telle ou telle bagnole, si je remplace le beurre par de l'huile de palme... Coûts et bénéfices, voila le calcul! Et l'effet escompté n'a pas lieu... Les prolos se retrouvent jetés du travail dans la rue... La pauvreté s'accroit comme jamais!

Homo economicus!

Homo economicus à la con!

Illustration 11
Crever de faim devant une fourrure

Utilitarisme forcené étendu à toute la société. Marchandisation de tout, des rêves, de la musique, des arts en général... De la folle quête du rentable , de la plus-value, de la valeur surajoutée naît le Meilleurs des Mondes!

Röpke jouit dans son paradis plus ou moins artificiel!

Mitterrand, deuxième partie et puis la "gôche" qui vient après prennent le relais des d'Estaing, Chirac et consorts... Elles embrassent le projet néolibéral à corps perdu... Les privatisations vont à bon train, la casse des protections sociales s'emballe (retraites, sécu, syndicalisme, etc...) Et les plus fervents adeptes des "positions" néolibérales  sont issus de la "gôche" caviar: l'adipeux Hollande et le bois sec Macron... Positions ou les petites gens, les travailleurs, se font mettre en long et en large!

Illustration 12

Je remarquerai que les partis et les syndicats qui se réclament de l'idéologie de gauche: marxiste, écologiste ou libertaire ne semblent toujours pas avoir compris l'enjeu... Trop souvent ceux-ci s'enferrent dans le petit jeu néolibéral qui consiste à dire: "tous nous voulons plus de pognon, alors nous négocions"... Ou encore, prenons le pouvoir et nous régalerons...Seulement voilà!  Qui donc crochète les cordons de la bourse? Toujours et encore les très puissants et leurs relais, les banques et au bas de l'échelle (au niveau du lisier) les politicards des assemblées, grouillots du grand capital...Toujours! Réagissent-ils pour souligner le côté pervers des enfumeurs agents et serviteurs dociles des têtes de couv. du néolibéralisme... Que non point!

Les enfumeurs???? Allons, vous voyez bien ce que je veux dire... Les médias, leur emprise!

Illustration 13

Le défilé programmé des ministres macroniens entrecoupé d'invités de la sphère civile glorifiant le réalisme des idées néolibérales tous les jours entre 7 et 9 sur France-inter, Europe1, RTL et surtout France Culture... Ils nous prennent pour des cons et ils ont raison. Nous on moufte pas.

La trouille de perdre son boulot, d'être catalogué "rouge dangereux" voir même terroriste!

L'Homo economicus c'est le rhinocéros de Ionesco... On voit de plus en plus de rhinocéros... L'épidémie est criante...

Nous sommes TOUS devenus des gérants de portefeuille!

Illustration 14

Le calcul ne se fait plus entre le coût des matières premières, salaires et bénéfices. Ce qui importe, aujourd'hui, c'est de MA-XI-MI-SER la valeur de TOUT ce qui est MAR-CHAN-DI-SABLE y compris l'air, l'eau, la nature, les rêves, la poésie...

Et bien entendu l'argent fictif qui en résulte est placé dans de judicieux paradis avec la bénédiction des banques (exemple: https://mabanque.bnpparibas/fr/vos-besoins/vos-projets/epargne/optimiser-sa-facture-fiscale).

La violence de cet état de fait, protégé, de plus, par une législation volontairement laxiste pour favoriser l'évasion des "très gros portefeuilles" exige évidemment l'anonymat et une forme d'individualisme extravagant (au sens de folie et non de fantaisie créatrice).

Que peuvent donc faire de leur argent, ces quelques personnes (6 à 8 selon les sources) qui détiennent aujourd'hui la moitié des revenus du monde, et ces quelques cent mains qui concentrent la presque totalité des revenus liés au labeur de l'humanité??? Ce sont des fous puissants... Bonjour les premiers de cordée! C'est toute l'humanité qui dévisse!

Illustration 15

Le pire c'est que ce sont les exploités eux-mêmes qui sont les serviteurs zélés du capital... On les intoxique avec des fadaises du type "ruissellement" ... Le mot d'ordre de Macron le "moderne" c'est le précepte de Guizot, émis il y a cent cinquante ans, "enrichissez-vous!" Faire croire aux prolos que ni l'origine, ni la fortune, ni les relations ne conditionne la fortune! Faire croire que les tenants des postes de pouvoir ne doivent leur "réussite" (au sens macronien) qu'à leurs seuls mérites...C'est bien dans l'esprit de la première de couv de Paris-Match qui nous gouverne! Mépris absolu pour les faibles et les exclus de la société... Faire croire aux prolos que c'est parce qu'ils ne travaillent pas assez qu'ils ne peuvent se payer un costard de luxe... Transformez-vous en patron! Exploitez-les autres! Entrez dans le champs sacré du "struggle for life", de la loi du plus fort. Rêve de pouvoir, d'être maître, patron, PDG, actionnaires: miroirs aux alouettes de tous les esclaves, qui sont les rouages les plus surs ou sûrs (au sens de rance) de cet état de fait imposé par les ultra-friqués...Le petit valet qui rêve de participer aux chasses avec "Monsieur le Marquis" sera sans pitié pour le plus pauvre que lui... L'empathie et la solidarité qui constituaient l'humain dans les années cinquante du siècle passé sont totalement disparues.

C'est pourquoi ces médiocres valets du capital face à une injustice flagrante se retranchent toujours derrière l'argument de maternelle: "c'est pas moi, c'est l'autre..."

Illustration 16

Et puis l'on on piège le béotien qui croit encore en une justice des hommes avec des crédits masqués...  Et quand il s'agit de faire ce pour quoi ce pauvre a signé, on bâcle le travail, on optimise le bilan financier avec l'obsolescence et la dégradation programmée... Il paiera deux, trois, quatre fois, voilà qui est bon et bien! En multipliant ainsi la quantité de matières premières utilisées (épuisement de la Planète envisagée par ces cyniques avec confiance, exponentialisation des coûts pour le prolo...) Bref on les oblige de payer les escroqueries et des travaux non faits ou mal faits... Et puis les banques rachètent leur dette en appuyant de tout leur arsenal juridique sur la dernière roue de la charrette, le petit emprunteur.

Dans les maigres patelins (comme le mien) où les fusils de chasse sont nombreux, où l'on massacre les arbres pour faire des parkings, où le moindre commerçant (appauvrit par l'installation des grandes surfaces sur la périphérie des susdits patelins) crache en croisant le manant, le sans le sous, où la parlotte va à un train tel qu'il n'est plus de mise de s'étonner que du jour au lendemain, vos voisins ne vous parlent plus, tous s'imaginent, lippe méprisante et goût de merde, créateurs de start-up....(en achetant en leasing leurs gros 4X4 pour se montrer le jour du marché...)

Illustration 17
Le banquier de Daumier © Daumier

Cela pour montrer combien les crapules qui nous dirigent ont réussit leur grand coup d'enfumage aux profits des très puissants!

Je suis effrayé chaque matin par le nombre de plus en plus grand des rhinocéros, intoxiqués par tous les médias faisant chorus et qui courent offrir leurs services de vils esclaves aux puissants, tous poings et mains liés par les banques, les marchands d'armes, les multinationales...

L'internationale du capital existe et semble avoir gagné définitivement la partie. Ce n'est pas moi qui le dit mais Warren Buffett... Une crapule de première (de cordée!). Warren Buffett se fout des sherpas!

Mais cet état de fait est, en réalité, de plus en plus instable... La bulle capitalistique est sur le point d'éclater!

On n'en peut plus de ces inégalités, de plus en plus criantes!

Des lanceurs d'alerte informent les esprits restés libres... Leurs relais se font maintenant via l'internet. Cette mise en contact des peuples constituent l'ébauche d'une nouvelle internationale combattant le grand capital... Dans ces entrelacs qui nous meuvent, tout en visant à nous ligoter, les ciseaux des voyants sont à la tâche pour nous rendre libre d'esprit et de corps... Et ils préparent les consciences à une mutation : transformer l'Homo economicus en Homo sapiens...

Peut-être en est il encore temps!?

Illustration 18

(*) Quand donc rendra-t'on compte des  massacres liés au capitalisme, idéologie meurtrière, comme on rend compte de ceux liés au stalinisme, toujours assimilé au communisme et par extension au marxisme (les exemples les plus caricaturaux étant Onfray et Moix, qui, d'ailleurs, ne peuvent pas se sentir...)

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