Oui le fric est bien le grand unificateur de cette société! C'est lui qui relie toutes les avidités: c'est une religion!
Entendez ces rituels ânonnés, ces mots vidés de leur sens…
Et voyez ces "bling-blings splendides" qui se paient de la faim des gens et de leur tête…
Or toujours la religion est l’alcool qui masque et justifie par là même les souffrances des plus pauvres...
La religion néo-libérale hypnotise le peuple en lui servant les prières qu'il aime entendre, servies par des richissimes (Le Pen).
La religion clanique (nationaliste...entre autres) est toujours xénophobe. Elle génère le fanatisme et incite au meurtre. Les entendez-vous, ceux qui prêchent l’amour (marchandisé) en appelant à la haine (marchandisée) ?
La religion politicarde prélève, soudoie, détourne la vérité et s'empare de l'argent qui devrait revenir aux pauvres. L'égoïsme des puissances d'argent est admiré par tous. Les religions, les politiques et les médias sont les miroirs aux alouettes du peuple. Ils entretiennent et alimentent les superstitions... Les crapules disent qu'il n'est d'autre société que celles des religions et du marché... Ils font, de la même manière, la promotion des spéculations sur l'or et sur les idoles ... La main invisible du marché, l'Internet, les sports ne sont-ils pas l'expression des croyances actuelles???
L’intolérance religieuse, qui se nourrit des dogmes, est le terreau des fanatismes. Tout dogme sépare et enferme. Et cette intolérance est de toutes les chapelles: le monde boursier, le monde politique, le monde médiatique, le monde religieux...
Souvenez vous de tous les morts au fil de siècles et sur tous les continents…
Plus que jamais la religion est l'opium des peuples...
Et chaque jour elle est remise à l'ouvrage et adoubée par la parole des crapules...
Pendant ce temps les inégalités augmentent, les espèces disparaissent et les glaciers fondent... Et quelques riches accumulent en riant dans leurs greniers ce qui permettrait aux pauvres, qui trop souvent les admirent, de ne pas mourir...
Comment, dans la glaise des conventions et des idées reçues, pourrait-on ré-empierrer les chemins de justice et d'équité qui sont presque totalement effacés?
La simplicité, gage de la justice n’a rien à voir avec l’or, l'arrogance, la pompe et la fatuité. Ceux qui gouvernent en usant de l’intelligence falsificatrice sont les malfaiteurs du peuple…
La justice ne se révèle pas au gré des ritournelles politicardes, des psalmodies boursières, sportives ou religieuses qui nous sont imposées…
Elle réside, cachée, dans le cœur de chacun et s’entrevoit quand l'humble se dresse pour refuser la servitude et qu'il prend son destin en main.
Debout, le voici libre!