Quand on est nul en maths on évite de devenir syndicaliste !
ou
Les pauvres sont-ils trop cons pour que l'on se penche sur leur cas ?
Ceux qui ont vécu les grèves des années 80-90 se rappellent sans doute un certain Henri Krasuki, secrétaire général de la CGT, incapable sur un perron, face aux journalistes, d'énoncer correctement une somme, perdu entre anciens et nouveaux francs !
On imagine aisément les sourires satisfaits des patrons d'alors.
Il semble bien que les inaptitudes des "dirigeants" syndicaux n'aient fait que perdurer ces dernières décennies, suivant la même ligne d'ignardise et de stupidité. Voilà encore une parfaite illustration, au sein des organisations ouvrières cette fois, du lumineux principe de Peter, selon lequel dans toute structure hiérarchique chacun accède inéluctablement à son plus haut niveau d'incompétence.
Aujourd'hui, 27 janvier 2022, un énième mouvement de grève est déclenché au niveau national pour l'augmentation des salaires, avec pour argument principal la nécessité d'un réajustement du pouvoir d'achat face à un retour de l'inflation.
Cette fois encore, on réclame des augmentations de salaires en pourcentage.
Les auteurs de ces revendications de "génie" doivent franchement avoir de sérieux problèmes d'entendement en matière de pourcentage, de règle de 3 en général.
Ils protestent à longueur de temps contre les écarts de salaires au sein des entreprises, contre cet étirement insupportable de l'échelle des rémunérations et pourtant ils en sont les principaux artisans !!!
Le résultat de telles inepties revendicatives :
En cas d'augmentation, les bas salaires auront droit à des cacahuètes racornies tandis que les salaires supérieurs pourront s'offrir des noix de cajou et des pistaches bien fraîches !
Où est l'erreur ?