Au reveoir Bernard Maris

Aujourd'hui je suis triste. Il faut accepter de mourir pour qu'un journal bete et méchant ait le droit de citer. Je suis triste pour Bernard Maris avec lequel je n'étais pas forcément toujours daccord mais qui au moins avait une opinion. Fallait il vraiment ce massacre pour que nous nous rendions ocmpte que nous somme tous des Charlie ???

Ce soir c'est la tristesse. Les larmes et le recceuillement. Je pleurs comme j'ai pleuré la mort de Desproges. Espérons que l'élan de ce soir continue demain, après demain.

N'oublions pas le lourd tribus que les journalistes arabes ont payés à la folie.

Pleurons les morts. Restons debouts, comme eux.