Source: JC -Luttes Invisibles
Pendant que des centaines de policiers traquaient des militants antifascistes autour du meeting d'Eric Zemmour, une jeune femme portant un simple T-Shirt « non au racisme » a été tabassée à l'intérieur de la salle. Elle apparaît le crane couvert de sang peu après. Et bien sûr, il y a des journalistes pour dire à la jeune femme : « vous avez pris des risques ». En clair, dire non au racisme devient une provocation, quasi un délit.
Et ce sont ces mêmes journalistes de ces mêmes média ( qui sous estiment systématiquement les manifestations sociales ou les passent sous silence) qui relayaient en boucle sur les ondes qu'il y avait foule au meeting de Zemmour, 13 000 personnes selon eux, alors que la salle de ne contient que 12 000 places et que de nombreuses photos et témoignages parlent d'une salle en grande partie vide. Les témoignages les plus fiables donnent le chiffre de 5 000 personnes, dont 500 journalistes ! Au total, ce n'est pas considérable si l'on considère les moyens médiatiques considérables accordés à Zemmour, que ses partisans venaient de toute la France et que c'était son grand meeting de lancement de sa campagne.
La France des sommets et des médias bascule. Ces gens veulent éliminer les étrangers et les opposants, déporter et enfermer les personnes "déviantes", asservir les femmes, écraser toute contestation sociale.
Manque de pot pour eux, il n'y a jamais eu autant de luttes qu'à l'heure actuelle à commencer par la grève générale aux Antilles qui est plus qu'une épine dans le pied des dominants. Rendre les coups, être anti-raciste, anti fasciste en ce moment, c'est tout faire pour aider les antillais à gagner, c'est organiser des rassemblements de soutien, appeler les quartiers à y participer....
Ici la vidéo sur l'agression fasciste
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