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Billet de blog 12 janvier 2022

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Nanterre: 40 sbires pour empêcher sans facs et élus de s'adresser aux étudiants

Molosses violents, sexistes et homophobes, coupure 'électricité et chauffage, blocage des portes et de la seule issue de secours, fenêtres vissées.Halte aux méthodes irresponsables et mafieuses, au prix de 400 000 €, soit 50 places en licence ! La rencontre demain doit être l'occasion d'engager de réelles négociations et d'aboutir à inscrirre pour bien moins...21 sans facs !

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UNEF - TACLE : Tendance Action Collective et Luttes Etudiantes1

UNE QUARANTAINE DE VIGILES EMPLOYÉS POUR EMPÊCHER LES SANS-FACS ET LEURS SOUTIENS DE S'ADRESSER AUX ÉTUDIANTS !

La preuve dans ces nombreuses images.

Il n'y a pas un bâtiment où se tiennent des cours, où il n'y a pas des vigiles !

Stop à la surprésence de vigiles privés violents ! 400 000 euros dépensés en vigiles privés depuis le début de l'occupation des sans-facs : c'est l'équivalent de 50 places en licence !

Depuis le 27 octobre, M. Gervais-Lambony emploie des vigiles privés à harceler, bousculer, insulter, et empêcher de circuler des militants de l'UNEF et des sans-facs. Au début de l'occupation, une dizaine de vigiles étaient présente en continu sur les toits des bâtiments. Depuis le début des examens, c'est une quarantaine de vigiles présente toute la journée pour empêcher des militants d'intervenir auprès des étudiants. "T'es une femme, tu restes à ta place", "baltringue", "tarlouze", une élue étudiante en DSP suivie jusque dans son partiel, des sans-facs bousculés sur les toits, des élus poussés au sol...

Des méthodes autoritaires qui s'ajoutent à la coupure de l'électricité et du chauffage pendant plusieurs jours, au blocage de la seule issue pendant plusieurs heures avec une voiture garée, aux fenêtres vissées... Au lieu de multiplier ces méthodes, M. Gervais-Lambony doit accepter de trouver un compromis ! Demain aura lieu une rencontre : celle-ci doit être l'occasion d'engager de réelles négociations et d'aboutir à un accord !

Voir ici 6 photos de plus de la militarisation de Nanterrre, au prix ruineux de 400 000 €, pour empêcher l'expression des sans facs et leurs soutiens

En complément tous les jours la rubrique Jeunesse/Education de la Revue de Presse Emancipation!

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