"Depuis ce matin, des dizaines de nos collègues sont suspendus : infirmières, aides-soignants, ouvriers, administratifs, toutes catégories.
D'autres ont "montré patte blanche", ont du se soumettre la boule au ventre, parce qu'il faut bien nourrir les enfants.
Les hospitaliers sont humiliés, stigmatisés, insultés.
L'encadrement dans sa grande majorité a joué le rôle de répression infect que le pouvoir lui a confié : jusqu'à quand ?
Nous avons vu repartir des collègues, certains à deux mois de la retraite, avec des arrêtés de suspension. A qui le tour ?
Il y a des "braves gens" que cette situation amuse.
Leur bêtise surpasse leur cynisme vulgaire : le pouvoir se sert d'eux pour fermer les services, les lits et les hôpitaux.
On ne leur souhaite pas de mal, mais on les emmerde en attendant." CGT Hegpg
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