À la croisée des chemins de la connaissance, la lumière d'un sens sûre éclot la valeur des mots qui éblouient les réfractaires au changement d'horizon. Une page se tourne vers l'imagination laissant derrière elle, les pointillés d'une histoire sans fin. Il était une fois, un écrivain qui cale, devant la blanche page, une hantise qui recense les journées à l'inspiration capricieuse. Puisse la blanche page devenir une blanche colombe en inspirant la paix, et non pas l'épée de Damoclès laissant en émoi les plumes, les plus audacieuses.
Soit, il faut franchir le pas, d'une peur qui plonge dans le doute, sans être outré par la marche à suivre. Tous les moyens sont bons, pour arriver à la fin d'un récit qui dénote, un franc-parler, retrouvé au fond de cette bouteille posée, sur le rivage d'une mer d'ivresse. Un style d'écriture qui explore les profondeurs de l'âme, là où chantent, les sirènes du regret. La fin justifie les moyens, à partir du moment où, l'émerveillement est au rendez-vous.