L'intervention des yankees, en Afghanistan incarne un écran de fumée. Mettant à mal, les discours universalistes que tiennent les USA. Dans la mesure où, sous couvert de compassion, l'aigle américain s'anime d'ambitions impérialistes. Si l'on considère le fait qu'il a pillé les ressources de pays qu'il envahit par exemple, au Koweit, au Bahreïn et notamment en Irak, sans parler de civils malencontreusement tués.
De ce fait, l'interventionnisme du " gendarme du monde ", répond à une logique d'expansion du free market. Ce constat est maquillé en une superbe occidentale qui aurait le monopole de la liberté. Cependant la liberté symbolise d'avantage la déresponsabilisation des puissants de ce monde, si on considère les images du vent de panique gagnant le tarmac, de l'aéroport de Kaboul. Des images insoutenables d'afghans voulant partir avec l'aigle américain qui prêt pour son envol, vers son pays natal, n'a que faire de parasites s'accrochant à ses ailes. Dès lors, le retrait des troupes américaines en Afghanistan, nuance le feu sacré de la liberté qui visiblement ne brille que pour les occidentaux.