Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Des cris donnent écho à l'injustice et pèsent les mots de la colère Le capitalisme se mord la queue sans que sa tête ne tombe Mais de quelles têtes parle-t-on, cette hydre est ainsi faite Faisons corps avec la révolution comme bouclier, l'espoir comme épée Car la douleur fait rage pour ceux dont les miettes peinent à satisfaire Une vie qui consiste à courber l'échine Il est temps que le peuple se soulève Gare aux chiens de garde du pouvoir Ils matent la foule pour ceux qui prospèrent sur la pauvreté et la maladie Jupiter fait valoir son titre devant une cour acquise à sa cause La noblesse avide de privilèges dictent ses volontés L'aversion des nobles pour la populace Le jour où les têtes couronnées subiront le revers de leurs calomnies Eux qui propagent terreurs et infamies La mort prendra leurs vies comme on souffle une bougie Accablant métal, assourdissant bruit, le châtiment clame la foule La tête du roi ricoche sur le plancher Ce sang n'a rien de divin La justice l'est, aucune larme versée Pour le prétendu soleil, son règne prend fin par sa flétrissure Coupable d'avoir abandonné le peuple à la peste Il s'est fait la part belle, de l'impôt à la gabelle Avec ses amis qui y-a-t'il de noble dans cette perfidie ? Comme dernière leçon, messire Dans les chaînes naît la solidarité Et se nourrit la révolte
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