Une odeur persistante, d'urine séchée au coin des murs, rappelle l'amertume de ceux dont le destin est scellé. Les conditions sociales diffèrent selon les espaces. À ce propos dans les beaux quartiers, les murs restent blancs. Tandis que la grisaille envahit les cités dortoirs que la République abandonne, à leurs malheurs. Des existences parquées que la pauvreté ronge, comme la lèpre, loin du brillant centre-ville.
Si ce n'est que tambours battant, la révolution déchaine les passions, par un voeu de justice et d'égalité, ce fameux grand jour des possibles. Suite au fait que la classe politique diffame, et instrumentalise, pour arriver à ses fins. Elle pour la populace, n'a plus lieu d’être, causé par sa morale qui triche avec la vie.