LA MUNCHLINE DU 05.03.25
Le temps se gâte !
Les parlottes, voire les papouilles, entre MACRON et TRUMP n’auront abouti à rien si ce n’est conforter TRUMP dans ses délires et son analyse de notre Président : un type faible avec les forts et fort avec les faibles, une sorte d’Iphis. Bien entendu, pas d’action concrète destinée à faire changer le Président US ni bien, entendu son nouvel ami russe.
La décision de renforcer nos armées est la bienvenue, même si elle est tardive et que pour nous les finances sont absentes comme toujours !
Mais il existe une solution que nous avions déjà proposée pour rembourser notre dette abyssale.
En fait il s’agit de proposer à nos concitoyens de souscrire à un emprunt national comme l’avait en son temps Antoine PINAY.
Bien entendu, pour que cet emprunt soit un succès, il faut qu’il rapporte un peu plus que les 2,4% actuels !
Notre proposition était de rajouter à ce taux le taux que nous payerions à l’international auprès des préteurs habituels.
Il va de soi que dans la mesure où les capitaux proviendraient des livrets A et assimilés, les intérêts devraient conserver les mêmes avantages. Nous n’y perdrions rien, bien au contraire car le taux de base du livret serait versé de toute façon et que le produit du surtaux resterait en France et réintégrerait notre économie et que par ailleurs actuellement il ne supporte pas l’impôt en France !
Si les montant attendus n ‘étaient pas au rendez-vous, rien n’empêcherait de remonter le plafond des livrets.
S’agissant de nos forces armées il serait positif de faire faire à toute notre jeunesse, ce que l’on appelait dans le temps, à l’époque où le Service Militaire existait, « les classes » càd une période de 2 mois de formation intensive qui lui apprendrait les rudiments du métier de soldat. Le SNU était une foutaise qui coutait un pognon de dingue !
Enfin, pour en finir, s’agissant de notre force de dissuasion, il serait plus positif et plus sérieux de parler de « bouclier » et non de« parapluie » sinon on finira avec un parasol voire une ombrelle !
J.M.