LA MUNCHLINE DU 09.06.25
Le Kompromat
Lors de la campagne pour le « TRUMP 1 » les médias ont évoqué la possibilité d’un Kompromat monté par la Russie afin de « tenir » D.J. TRUMP. Ce kompromat aurait été élaboré en se basant sur les frasques sexuelles du futur président alors qu’il écumait les lieux de plaisir de Moscou dans le but avoué et officiel d’y construire une TRUMP TOWER.
Ces jours-ci, dans le cadre de la « dispute » entre D.T. et son électron libre Elon MUSK, ce dernier a publié sur son média X un post où l’on voyait D.T. en compagnie du pédophile EPSTEIN et de très jeunes filles. Rien de compromettant sur les images diffusées, Mais très curieusement MUSK vient de retirer le post en question et on ne connaitra peut-être jamais le détail des tractations qui ont abouti à ce retarit. Mais l’absence de tout commentaire de la part de DT est assez parlante.
La question de l’existence d’un kompromat reste en suspens, mais cela cadre bien avec l’apparente soumission de TRUMP aux exigences de Moscou sans pour autant être concluante. En effet le kompromat agi tant que la personne visée est persuadée de son existence, que celle-ci soit vraie ou non et aujourd’hui avec l’IA, ce n’est pas gagné !
Ce qui est certain c’est l’appétence de D.T. pour les belles jeunes femmes ce qui n’est pas condamnable en soi. L’histoire des Etats-Unis est assez riche de ces personnages en commençant par les frères KENNDY qui se sont « partagé » Marylin ou encore Johnson qui sautait sur tout ce qui bougeait sans oublier Bill CLINTON et l’affaire LEVINSKI !
La France n’a rien à envier à ses voisins et il suffit de se rappeler la double ou triple vie de François MITTERRAND ou encore CHIRAC surnommé « DMDC » par son entourage, ce qui voulait dire « dix minutes douche comprise ». Pas sûr que cela ait comblé ses partenaires !
Pour remonter dans le temp il ne faudrait pas oublier nos rois de France dont l’activité sexuelle de beaucoup contribuait à repeupler notre pays. Par ailleurs le droit de cuissage n’a pas été inventé pour les chiens et son existence a été largement démontrée dans le cadre du mouvement Me Too.
J.M.