LA MUNCHLINE DU 13.07.25 Bis
C’est parti…comme en 39 !
On a l’habitude de dire « comme en 40 ! », mais c’est une erreur. La honte de la France date de 1939. Nous avions signé un traité d’assistance militaire avec la Pologne ce qui a fait que nous avons déclaré la guerre à l’Allemagne et c’était la moindre des choses ! Sauf que quand on déclare la guerre c’est pour la gagner ce que tant nos politiques que nos généraux avaient complètement oublié !
Alors nos troupes sont restées dans leurs casernes et dans leurs bunkers de la ligne Maginot en chantant qu’ils iraient faire sécher leur linge sur la ligne Siegfried, la ligne de défense allemande.
Les mois ont passé et l’Allemagne a écrasé puis occupé la Pologne et pendant que la Wehrmacht réparait son matériel de guerre et se réapprovisionnait, on continuait à chanter !
Il y a même eu un officier qui a eu le culot de partir avec ses hommes pour entrer en Allemagne dépourvue de soldats pour la défendre ! Il a été rappelé dare-dare et peut-être même sanctionné !
Quand les troupes allemandes étaient à nouveau prêtes et ravitaillées en pervitine, ils ont foncé à travers les Ardennes et nous ont foutu la pâtée !
Aujourd’hui avec la guerre en Ukraine c’est le même scénario ! Notre brasseur de vent s’agite et joue au moulin à vent, pendant que plus loin à l’est les gens meurent parce que nous n’osons pas, parce que notre chef des armées est plutôt un chef désarmé, un velléitaire.
Nous avons souvent écrit qu’il ne fallait pas aboyer quand on savait qu’on n’allait pas mordre, mais notre faiseur de mirages se croit dans la cour de son école primaire, ou peut-être de la maternelle, et il attend qu’un costaud de la cour de récré lui donne un coup de main !
Grace à lui nous avons perdu bon nombre de pays qui ont quitté la francophonie et depuis son coup d’éclat de la dissolution, il est complètement démonétisé et la risée de la planète entière !
Il s’est fait ramasser par TRUMP et POUTINE et pourtant il pense toujours être l’Homme Providentiel. Or il oublie que pour avoir un Destin il faut savoir mettre le sien en jeu. Or pour cela il faut des « cojones » ce que visiblement il n’a pas et nous attendons avec impatience qu’il nous prouve le contraire !
J.M.