LA MUNCHLINE DU 25.09.25
Les exceptions qui confirment la règle !
Il arrive en effet que parfois TRUMP ait raison et dans sa séquence de l’ONU il avait raison au moins deux fois ce qui est plus qu’inhabituel !
La première fois c’était au sujet du franchissement des frontières de l’UE par des avions russes qu’il fallait abattre. Deux situations sont possibles :
- si les avions ont leurs transpondeurs allumés et dans ce cas il s’agit d’une déclaration de guerre de fait, comme à Pearl Harbor en 1941
- les transpondeurs sont éteints et dans ce cas il s’agit d’une opération de guerre masquée un peu comme lorsque l’on a vu des militaires sans signes distinctifs envahir la Crimée, soldats que les médias ont vite appelé « les petits homme verts » ! Là aussi il s’agissait d’une déclaration de guerre mais qui voulait rester anonyme le plus longtemps possible, même si cela n’a trompé personne.
Il y a peu, suite au survol de l’Estonie par trois avions avec leurs transpondeurs éteints, nous avions commis un billet qui disait exactement la même chose. Si des avions « anonymisés » et ne répondant pas aux sommations franchissent la frontière alors il est même nécessaire de les abattre car ne pas le faire c’est montrer le point de faiblesse qu’attend l’agresseur.
En l’occurrence E. MACRON a criminellement, militairement et politiquement, tort. Mais comme il est habité par l’esprit de Munich, rien d’étonnant ! Il est lâche et ne connait pas grand-chose à la chose militaire ni même à la chose diplomatique ! Nous nous demandons s’il n’a pas du sang de CHAMBERLAIN ou de DALADIER qui coule dans ses veines !
La seconde fois que TRUMP avait raison c’est quand il a dit que l’UE devrait cesser d’acheter de hydrocarbures à la Russie.
C’est tellement élémentaire que l’on ne comprend pas pourquoi on continue ! D’une main on fournit des armes à l’Ukraine, et de l’autre on finance la Russie ! Cela nous montre à l’évidence que quelque chose ne tourne pas rond à Bruxelles et que c’est la trouille, la lâcheté et le business qui commandent à Bruxelles et que Mme Von der Leyen est aux ordres !
La possibilité de sanctionner d’une manière ou d’une autre les pays qui mettent à mal le fonctionnement et la crédibilité de l’UE s’impose. On sanctionne bien ceux dont le budget ne répond pas aux critères, alors comment se fait-il que les « déviations politiques » des uns et/ou des autres ne le soient pas ?
J.M.