Ô Soleil levant,
Splendeur de justice et lumière éternelle,
Illumine ceux qui habitent les ténèbres
Et l’ombre de la mort,
Viens, Seigneur, viens nous sauver !
La façon juste de prier est un processus de purification intérieure qui nous rend capables de Dieu. Dans la prière, l’homme doit apprendre ce qu’il peut vraiment demander à Dieu-ce qui est aussi Digne de Dieu. Il doit apprendre qu’on ne peut pas demander des choses superficielles et commodes que l’on désire dans l’instant – la fausse petite espérance qui le conduit loin de Dieu.
Il doit purifier ses désirs et ses espérances.
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A partir d’aujourd’hui, nous entrons dans une dernière étape. Jusqu’à présent, nous avons vu le Père préparer son dessein d’amour en le révélant peu à peu.
Maintenant le temps est venu de la réalisation. Zacharie et Elisabeth sont les premiers à percevoir les lueurs du « Soleil levant », ils sont les premiers à recevoir la visite de la « lumière éternelle ». Ils nous invitent à prier avec davantage d’insistance pour qu’advienne le salut définitif :
« Viens, Seigneur, viens nous sauver ! »
Veillez en priant
Réjouissons-nous car le Seigneur vient !
Le Seigneur est l’espérance des pauvres et des humbles, de ceux qui n’ont aucun appui sinon Dieu seul. Apprenons, à travers les mots du psaume, à devenir pauvres à l’image du Christ.
En toi, Seigneur, j’ai mon refuge :
Garde-moi d’être humilié pour toujours.
Dans ta justice, défends-moi, libère-moi,
Tends l’oreille vers moi, et sauve-moi.
Sois le rocher qui m’accueille,
Toujours accessible ;
Tu as résolu de me sauver :
Ma forteresse et mon roc, c’est toi !
Seigneur mon Dieu, tu es mon espérance,
Toi, mon soutien dès avant ma naissance,
Tu m’as choisi dès le ventre de ma mère ;
Tu seras ma louange toujours !
Veillez en priant
Réjouissons-nous car le Seigneur vient !
Le Seigneur est l’espérance des pauvres et des humbles, de ceux qui n’ont aucun appui sinon Dieu seul. Apprenons, à travers les mots du psaume, à devenir pauvres à l’image du Christ.
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PAROLE DE DIEU
Il ne vous suffit donc pas de fatiguer les hommes : il faut encore que vous fatiguiez mon Dieu !
Le Seigneur lui-même vous donnera un signe : Voici que la jeune femme est enceinte, elle enfantera un fils, et on l’appellera Emmanuel (c’est-à-dire : Dieu avec nous).
Voici mon bien-aimé qui vient ! Il franchit les collines, il accourt comme la gazelle, comme le petit d’une biche. Le voici qui se tient derrière notre mur. Mon bien-aimé a parlé ; il m’a dit :
« Lève-toi, mon amie, viens ma toute belle. »
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Sa course est délicieuse à voir parce qu’elle est vive comme l’amour qui le porte. Quelle belle image de Dieu ! Jeune, alerte, joyeux, libre et sans atours. C’est lui le Dieu qui vient à nous : comment ne pas le désirer de toute notre âme, de toute notre volonté, de toute notre force ?