Chacun aura bien compris que ce blog conçu pour râler, va me servir aussi pour laver mon linge sale en famille, et les nouveaux bénéficiaires de ces billets sauront ainsi pour uoi je les ai mis sur la liste des destinataires, se dont ils se passeraient certainement bien.
Je poursuis donc mon histoire de location du Presbytère de Saint Palais.
Nos éminents locataires, formés à l'école de la Duflot (qui n'est pas encore premier Ministre), ne connaissent que des droits et surtout pas d'obligations, ce qui échappe à notre curé bien-aimé Pascal Grégoire Delage que je vais nommer PGD pour simplifier, lequel apprécie d'ailleurs la cuisine de Madame chez laquelle il est régulièrement invité à dîner.
Trois demandes de remboursement sont ainsi arrivées au presbytère de Foncillon, pour des travaux non autorisés par le Conseil Economique qui bien qu'il soit "catho" peut exercer les droits de propriétaire que lui concède la Loi!
Devant la difficulté présente, je décide de convoquer les locataires à une réunion d'explication au cous de laquelle j'entends évoquer ce qu'est une location même celle d'un bien d'Eglise!
Mieux que cela, alors que le CE restreint a décidé de ne rien rembourser (niet) je me fends de mails tout au long de la semaine pour faire admettre 50% de remboursement (pas mal hein Cécile!). J'ai d'ailleurs conserrvé précieusement ces mails dans mon dossier pour les exhiber si besoin était!
Le jour "J", nos locataires sont tous les deux présents à la réunion, mais ô divine surprise, l'ecclésiastique responsable et son copain "culotte courte, alias Thirion" assistent également à la réunion. Mieux, ils se retirent en messe basse dans le couloir pour revenir (cocorico) me désavouer en pleine face: PGD a déclaré que le Coenseil Pastoral, souverain dans ce domaine (c'est sa théorie et je lui en laisse la responsabilité), a décidé de rembourser 100%.
J'exige que PGD et son copain, d'ailleurs stupéfaits, signent le "bon à payer" ce qui les laisse quelque peu pantois.
Les autres membres du CE l'ont fermée, ce que je trouve personnellement scandaleux!
Quant à moi, je viens de me faire des amis!