L'un de mes maîtres à penser me disait "Jean-Paul, il faut savoir être grand sur les petites choses". C'est ce que cet éminet financier PGD traduit par la formule "Il faut savoir être petit sur les grandes choses.
L'une de ses trouvailles, partagée par curés bis, ter et quater, était, par souci d'économie, de ne pas chauffer l'Eglise de Royan l'hiver. Marqué de dolorisme Chrétien (cela existe encore) il préférait officier dans un froid glacial, devant une assemblée qui ne pouvait plus prier tant elle était frigorifiée, ce qui ne le génait guère.
Aprés un premier hiver à se geler les joyeuses, j'avais beau dire à PGD que ne pas chauffer du tout relevait de la plus grande imbécilité qui soit, je sais Tout n'en démordait pas.
Allez convaincre la clientèle composée l'hiver de 62% de retraités aisés qu'ils doivent se frigorifier les glaouis en apportant leur chaufferette, ce qu j'ai connu à la campagne dans mon enfance, relevait du défi le plus grand, ce que traduisait cette brave dame venue voter ua Palais des congrés en mars 2010, salla surchauffée au demeurant, à laquelle je disais que l'on était mieux ici qu'à la messe en me répondant "ils y perdent, je n'y vais plus l'hiver et poutant je leur laissait 50€ par dimanche.
Mais, j'avais beau tenter de convaincre sa sail'Eglise Notenteté PGD, c'est un peu comme si je pissais dans un violon. J'avais beau dire à PGD ce que j'avais entendu, c'était de l'ordre du "parle à mon cul, ma tête est malade", formule que j'affectionne particulièrement et qui traduit bien ma pensée, même si elle relève de la plus grande vulgarité
Le principe était simple: PGD, comme dans toute grande décision, réunissait aautour de lui sa collection de fayots qui, la bouche en coeur, répétait à l'envie "Oui mon Père, excusez nous de vous demander pardon", chacun y allant de cette culture doloriste si néfaste à l'Eglise.
L'hiver suivant, en 2011, fort des observations de mon ami diacre qui me prêtait beaucoup l'oreille, nous avons mesuré ensemble le coût de deux heures de chauffage de l'Eglise Notre Dame de Royan, en faisant abstraction, mais encore fallait-il y penser, du coût de l'abonnement qui reste fixe, même en l'absence d'utilisation du gaz. Le calcul se révélait simple et significatif: deux heures de chauffag et e, suffisantes pour donner une impression de chaleur, ne coûtaient que 19€ et des brouettes.
Mais voilà le hic, nous avions perdu une clientèle qui ne remettrait pas les pieds à l'Eglise en hiver, au détriment des fiances du Secteur. Mais l'entêtement imbécile d'un curé n'est pas à cela près, surtout s'il ne prête aucune attention aux doléances de ses ouialles.
Croyez vous que Tatie Danièle, qui fourre son nez partout, et se trouve être selon ses dires spécialiste des factures GDF ait compris quoi que ce soit? Voilà qui donne des conseils éclairés à PGD qui les écoute avec cet air béat que devait avoir Bernadette de Lourdes en voyant la Sainte Vierge, mais la comparaison s'arrête là!
Aux dernières nouvelles, mais je n'étais plus là pour le voir, PGD et ses curés dits de la bande des quatre, auraient supprimerles feuilles d'information, se contentant d'une demi-feuille de chants pour le mois entier, ce qui a dû soulager le boulot de l'adorable secrétaire chargée de la production des dites feuilles.
Ce qu'ils ignorent, mais cela m'a été rapporté, (je suis vraiment l'homme des onfidences sans le rechercher) ils auraient encore perdu des clients désorientés par cette absence d'information qu'ils ne savent pas rechercher sur le net, pour la bonne et simple raison qu'ils ne l'ont pas.
Vas-y PGD je sais tout et ta bande d'incapables: continue à faire fuir la clientèle et tu laisseras à ton successeur une Eglise vide où il n'y aura plus que les chaises et quelques pratiques, mais comme me l'a dit PGD, je suis un charentais entêté...à peine. On dit en effet en patois charentais "ché comme la cagouille (les escargots) cha ne r'cule jamouais! Même lorsqu'il s'agit des intérêts bien matériels de l'Eglise.
Deamin, on économisera le papier à cul en coupant les feuilles en quatre.