Une fois de plus, il nous est donné de constater qu'intelligence et bon sens, cela fait deux.
J'ai connu une époque lointaine où nos paysans qui n'avaient aucune instruction, avaient au moins du bon sens et surtout celui de la nature.
Cette capacité extraordinaire de deviner le temps qu'il allait faire lendemain en écoutant seulement le bruit du vent où celui que leur renvoyait à l'oreille le bruit des sabots de leurs chevaux.
Lequel d'entre-nous n'aurait pas deviné qu'en reculant devant une Loi votée, on prête le flan à la critique, et on excite ceux qui se défendent et en demandent alors davantage.
Cà y est, le bon Peuple de France, de cette France profonde que j'aime, défile et défie le pouvoir.
Bravo à tous ceux qui portent le bonnet rouge et défilaient hier, défilent aujourd'hui et défileront demain.
Ces gens là ont bien compris qu'aprés leur avoir fourgué des mensonges tout au long de la campagne électorale, Normal 1er se conduit comme un imbécile, et le pire de l'histoire c'est qu'il n'e'st même pas capable, drapé dans l'orgueil qui le porte, d'en tirer les conséquences, sauf à prendre une décision qui, une fois de plus lui permettrait de conserver les avantages qu'une monarchie républicaine réserve à son Prince.
Où sont-ils donc ceux qui ont- voté pour lui, bretons en tête?
Après les avoir gavés de promesses de changement, les avoir défiés dans une pantomine honteuse, les mensonges se font jour et ils ne veulent plus se laisser prendre au piège des illusions. Il ne fallait pas les tromper, et cela Normal 1er aurait dû le deviner plus tôt que cela.
Mais, n'en doutons pas, ce qu'il voulait c'est le poste et les avantages qui l'accompagnent. Cela, nous l'aurons tous compris, ceux qui le découvrent et ceux qui le savaient à 'avance.
C'est grave de tromper le bon Peuple de france, celui qui, dans sa douleur d'aujourd'hui vient hurler sa souffrance.
Nous participons tous à cette souffrance, et c'est la moindre des choses même si nos compatriotes se sont lourdement trompés en votant.
Je connais un certain "tonton" qui avait en son temps fait croire que les mandats allaient arriver le lendemain dans les boîtes aux lettres.
La seule différence c'est que lui, il savait qu'il mentait.
Nul n'ignore que les lois votées par les socialistes en ce temps là ne comportaient aucun financement. Il fallait bien le deviner.
Il en fut de même pour les 35 heures qui ont mis la France en péril, mais nous le savons bien, jamais les politiques n'accepteront de reconnaître leurs conneries.
Que de déçus! Quelle catastrophe.