La charte de participation de "Médiapart" semble parfaitement superficielle et instrumentalise la liberté d'expression
En plus du retrait d'articles sous prétexte d'appellations parfaitement condamnées par la loi comme "incitation à la violence" "sexisme""homophobie" "atteinte à la dignité humaine" " racisme", ces appellations frôlent quand elles sont signifiées par courrier et quand on y réfléchit parfaitement outrancières et souvent humainement offensantes.
Sinon, en toute bonne logique et vu leurs gravités, elles devraient être signalées à la loi puisqu'ils en épousent l'expression et que celle-ci oblige à leur dénonciation. Par exemple il est parfaitement légal de dénoncer à la justice des propos racistes.
Bien évidemment, dans la plupart des cas, ces formulations permettent de donner une apparence de raison à une modération qui en vérité - et peut-être à son insu - offense ses abonnés hétérodoxes tout en affirmant respecter "leur liberté d'expression".
La modération devrait se reformer sous peine de donner dans le comique et, au lieu de se donner bonne conscience, par une caricature de législation, elle devrait plutôt signifier qu'elle n'exerce simplement qu'un droit patronal parfaitement légal, d'accepter ou de refuser ce qui déplait à Monsieur Plenel ou à ses employés.