La pensée, la parole (et donc l'agir) sont ce qui fait notre humanité, sans elles, sans la possibilité de pouvoir nous interroger et de nous exprimer librement, en toute sécurité, individuellement et/ou plus collectivement, il ne peut exister que des simulacres de démocratie. La pensée et la parole sont premières
En dehors des faits divers plus ou moins morbides découlant pour une très grande partie des rapports sociaux délétères actuels, si la force publique est nécessaire, elle ne devrait contrevenir en aucun cas aux principes suivants.
Le droit à la parole, la liberté d'expression en générale, sont les premières des libertés.
Nul ne doit être inquiétés, ostracisées au regard de son expression individuelle et/ou collective sauf à vouloir imposer par la force ou la terreur, seul ou en bandes, plus où moins organisées, ses propres idées, phobies. Aucune instance, plus ou moins organisées, plus ou moins abstraites, représentant des impératifs supérieures, ne peut être convoquées pour empêcher les expressions singulières.