Avec cette histoire de barbouze, la coupe est pleine.
Et ces barbouzes ça coûte un gnon de dingue…
Ça « casque » bien de travailler à l’Elysée. Ça « banque » bien aussi. Et ça loge Quai Branly.
L’affaire est dans le SAC, barbouze et compagnie, la franche macronnerie.
Ce n’est plus « En Marche », c’est « En Marche forcée », c’est « Marche ou crève »…
Macron n’en peut mai… pour commémorer mai 68 son bras droit va casser du manifestant dés le 1er mai ! Son bras gauche est resté paralysé.
Pensez, quel cinéma quand tabasser n’est autorisé que si on est policier et pas filmé.
CRS, Est-ce ? Est-ce ? Barbouze, bouze…
Barbouze s’est rasé la barbe mais c’est nous qu’il rase…
Cette affaire banana, tabasseur faux policier et filmé par dessus le marché c’est le cas de dire, est forcément une crise de régime, de ripoublique bananière, d’ingrat double en quelque sorte.
Passage à tabac : Macron joue le bout filtre. Mais ça fume encore car fumier tue et Macron le tutoie, car il a les clés de la maison qui brûle et qui nous impose de regarder d’ailleurs.
LE ROI EST NU…L :
D’un coté : "j’assume",
de l’autre : "Est-ce que l’Elysée a commis une erreur dans cette affaire ? Non."
"C’est moi qui l’ai embauché. Est-ce que je le regrette ? Non"
"Mais manifestement j’ai aussi fait une erreur en faisant ça."
"Il y a eu des dysfonctionnements."
Ainsi le monarque assume, dans le cadre de dysfonctionnements, l’absence d’erreur suite à une erreur qu’il ne regrette pas ! La dialectique casse des briques au Palais.
« J’assume » où « j’amuse » ?
Au ban qui est ? (Banquier) Qui mettre au placard? Dans quel État j'erre?
Ce n'est pas une "AFFAIRE D'ÉTAT", c'est un TAS D'AFFAIRES...
L'individu a agressé à plusieurs reprises des journalistes avant cette affaire et ce n'est pas la seule interpellation musclée qu'on lui connait!
Dans un État d'affairistes à refaire car en mauvais état comme en mauvais été.
Qui va aller le chercher le responsable à l'Èlysée? Celui qui veut se faire appeler "mônsieur" mais qui parle comme un gamin ou une petite frappe? Ce président qui ose ces florilèges:
" Nous avons une presse qui ne cherche plus la vérité "
" Je vois un pouvoir médiatique qui veut devenir un pouvoir judiciaire "
On ne peut pas traître et avoir l'été.
Moi mon Collomb, celle qu’j’préfère, c’est naguère l’affaire du 1er mai 18 !