Depuis des années, d'une élection à l'autre, MELENCHOn développe la même stratégie dont l'unique objectif est de détruite le P.S.: "en faire de l'huie" comme il le dit si sauvagement.
Or, qu'il le veuille ou non, le P.S. contient de nombreux éléments positifs qui se voient bien au niveau des muniicipalités, des régions, de départements et non, bien sûr, au niveau de l'Etat où une petite cotterie de soutiens du groupe "HOLLANDE - VALS" a pris le pouvoir, grâce, il est vrai, à la passivité critiquable, de beaucoup de "braves gens" du P.S., pas méchants mais pusillanimes. Par exemple, à Toulouse, MELENCHON et son clône local ont réussi à faire battre Pierre COHEN, socialiste de gauche (aujourd'hui soutien de HAMON). Résultat: mise en place par la droite d'une politique radicalement anti- tram et anti-transports en commun, privatisation des lieux de culture du centre-ville. En face, de façon continue, une poltique du pire, une stratégie de fou qui ne va pas s'arrêter. MELENCHON hostile à toute ouverture à gauche, n'offre aucune perspective de victoire, même partielle. Il chosit systématiquement la défaite improductive. Cela peut continuer jusqu'à 2030 et au-delà. Son slogan de campagne peut se lire comme "Moi tout seul, moi devant et tous les autres derrière"... dans le mauvais temps. Les historiens feront un jour le bilan de ce qu'a rapporté la stratégie de MELENCHON à la France: rien que de la désillusion. Pendant ce temps, les gens modestes continuront de galérer dans des transports en commun inchangés et de voir le centre-ville et même toute la ville livrée aux promoteurs et aux nouvelles catégories bourgeoises... (ah, le fameux "dynamisme de Toulouse" et son contenu social réactionnaire et régresssif...