… E comme esbroufeur, D comme démagogue, I comme irresponsable, A comme arrogant, P comme petit-bourgeois, A comme arriviste, R comme ringard, T comme tricheur ?
Dit autrement : ‘’c’est donc ce qu’il faut comprendre ? ; que la direction de Mdpt y est allée au flan ? ; que, pariant follement sur l’idée qu’elle-même, ‘’arrogamment’’, s’était faite de son ‘’pouvoir’’ de faire et défaire les politiciens, elle pouvait se permettre de ne payer que les impôts qu’elle voulait bien payer ? ; tout ceci alors même que ce qu’elle racontait étant qu’aujourd’hui, la révolution du capitalisme EST le PREMIER des impératifs catégoriques, cela requiert (REQUIERT !) un minimum de sérieux ?’’
Sauf qu’évidemment, qui pourrait bien le contester ?, si la révolution du capitalisme est aujourd’hui L’impératif catégorique, ce qui est absolument certain, c’est que, si on prétend apporter sa pierre à cette révolution, ça NE peut PAS être en étant un manipulateur, un esbroufeur, un démagogue, un irresponsable, un arrogant, un petit-bourgeois, un arriviste, un ringard, et un tricheur. N’est-ce pas, tout ce qui, jusqu’ici, a été dit sur le capitalisme et sur la façon de le révolutionner n’ayant conduit qu’à le… CONFORTER !!!! (à cet égard, voyez l’exemple probant –non ?- de TOUTES les révolutions dites ‘’socialistes’’), et si, ALTERNATIVEMENT à la ‘’politique’’ qui consiste à ne faire que se monter le bourrichon (et, bien plus grave, celui de tous ceux/toutes celles que, tous les jours, le capitalisme piétine), on s’efforçait D’ABORD de comprendre comment il fonctionne VRAIMENT, étant bien entendu que telle est la condition sine qua non de sa VRAIE révolution.
D’où ce qui suit.
Imaginons que pour rétablir sa situation financière, la direction de Mdpt fasse appel aux abonné-e-s. Et imaginons que, ce faisant, elle ne fasse… que cela. En clair, qu’à l’avenir, STATUTAIREMENT, et comme si de rien n'avait été, les ‘’abonné-e-s’’ continueront à n’avoir pas le moindre droit de regard sur la ligne éditoriale de Mdpt. Bref, que dans Médiapart, ainsi que c’est trivialement le cas partout où, la presse s’étant mise ‘’en ligne’’, elle prétend être davantage ''citoyenne'', le ‘’participatif’’ continue de n’être là que pour ‘’la com’ ‘’ ; eh bien, que la direction le sache : je n’ai pas fini de ne pas lui faire le plaisir de ‘’démissionner’’ !
JT