Sur l’ancien chemin de halage, le chemin du jardin, un cygne
est venu me voir et
m’a demandé comment et pourquoi
aller sur la berge d’en face,
Pour prendre un bain,
dans la baignoire d'en face
Cela est-il bien indispensable ?
L’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté dit la fable.
Alors, autant que possible,
loin des fables :
avancer. Jusqu’au bout du chemin,,
même sans trouver la porte du jardin .
Revenir sur ses pas. … Un peu triste.
Bien sûr, les n° portable/mobile…. sont restés sur le bureau à Paris.
Mais bon…
avancer….
Quand arrrive une belle voiture, inconnue.
Mais… La conductrice : oui! ouf !
Ouf, : c’est fou ! et c’est vrai.. Pour une fois que ce n’est pas une pub.
Dominique de retour de courses, de vraies courses, de celles qui se mangent.
Enfin le jardin retrouvé.
Le bonjour à Bernard, qui bosse…
Bonjour la vie :
regarder le jardin.
Le potager
au centre : ceci n’est pas un palmier !!!
Sur le côté,
petites branches de noisetiers pour allumer le feu.
sans oublier les feuilles pour les ânes.
Des vrais de vrais.
Loin des « bling-bling » .
Puis fin du repas, la dernière bûche fait déjà la sieste
Pendant ce temps nous avons causé, un peu le poing levé, beaucoup avec le cœur, toujours à gauche
Puis Bernard a raconté la belle histoire de la fontaine
Et celle-là faut l’avoir entendue.
En écho,
le souvenir de cette phrase :
« Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer ».
Ma culture se fout complétement de qui c’est.