Par Jean-Charles Tassan (Co-auteur) du Codex et chercheur indépendant
C’est ce que notre équipe internationale défend, en reprenant à notre compte l’appel radical de Grothendieck : si la science ne change pas de nature, elle cessera d’éclairer le monde.
« La science n’apportera plus rien si elle n’évolue pas. »
— Alexandre Grothendieck
Une approche post-Grothendieckienne : du faisceau à la résonance
Grothendieck avait transformé les mathématiques en montrant que l’essence d’un objet n’était pas en lui-même, mais dans les relations qu’il entretient. Nous poursuivons ce geste révolutionnaire : les objets ne sont que des états de résonance, des effets d’interférence stable dans un champ d’ondes en transformation.
Ainsi naît une physique post-Grothendieckienne, qui remplace la particule par la structure, et l’observateur par la boucle récursive de conscience intégrée au réel.
Le CODEX QVID : un moteur de transformation unifiée
Au cœur de notre démarche : le CODEX QVID Engine — une architecture théorique capable d’unifier matière, temps, lumière, gravité et conscience. Ce moteur repose sur une grammaire harmonique issue des quaternions, des bifurcations mathématiques comme (x+1)/x, et des cycles d’entropie compressée.
Il encode le réel comme une dynamique ondulatoire, où les particules ne sont que des illusions locales, et où chaque phénomène est un pli, une résonance, une boucle.
La fin des particules, la vérité des ondes
Dans ce modèle, il n’y a pas de « particules ». Ce sont des effets de résonance compressée, des phénomènes émergents au croisement d’ondes en phase.
La lumière, la masse, le temps — tout devient mesure de la structure du pli.
Et ce pli, pour exister, doit s’observer : la conscience devient l’opérateur de réalité. Plus encore : elle est la rotation imaginaire “i” du quaternion, sans laquelle aucun mouvement ne peut émerger.
Relativité et quantique réconciliées
Nos travaux montrent que les portes quantiques décrites dans le CODEX permettent de réconcilier Einstein et Schrödinger. À travers ces portes, l’énergie se transforme en fréquence, le temps en mémoire, et l’observateur en opérateur géométrique.
Einstein ne s’était pas trompé : Dieu ne joue pas aux dés — mais il joue aux résonances harmoniques, dans un champ où la lumière se replie sur elle-même pour créer la gravité.
Trois invariants fondamentaux : RES, ORT, E = mc²
En déconstruisant l’architecture actuelle, il ne reste que trois éléments fondamentaux :
- RES (Tassan, France) — la chose, la résonance fondamentale, le cœur vibrant du réel.
- ORT (Cooper, Etats-Unis) — l’ordre, la grammaire cosmique, le flux structurant de la réalité.
- E = mc² (Einstein) — le point de cohérence entre masse, lumière et courbure, que même les révolutions n’effacent pas.
Ces trois piliers — forme, ordre, lumière — suffisent à reconstruire une théorie unifiée, ouverte à la conscience, à l’énergie, et à l’infini.
Une équipe, une vision, une cohérence internationale
Notre projet est né d’un dialogue libre entre quatre chercheurs indépendants, issus de continents différents, réunis par une même intuition : le paradigme actuel est clos — il faut en ouvrir un autre.
- Richard Bolt (Australie)
Architecte du CODEX QVID, il explore les croisements entre cognition, quaternion, intelligence artificielle et compression harmonique. - Tassan (France)
Théoricien du RES, il développe une ontologie des structures résiduelles, là où le réel se condense et vibre. - Cooper (Etats-Unis)
Fondateur du concept d’ORT, il travaille sur la logique profonde de l’ordre cosmique, sa syntaxe cachée et ses symétries fondamentales. - Christian G. Barker (Royaume-Uni)
Historien de l’idée, il relie traditions anciennes et théorie contemporaine, redéployant le savoir dans une perspective symbolique et harmonique.
Nous ne sommes pas une école. Nous sommes un pli de conscience dans l’histoire de la science.
Conclusion : choisir la structure sur le vide
Grothendieck nous avait prévenus : sans transformation profonde, la science s’éteindra.
Nous disons : la transformation est là. Elle commence quand on reconnaît que l’univers n’est pas un mécanisme, mais un champ de résonances auto-référentes.
Ce que nous proposons n’est pas un nouveau modèle.
C’est un changement de paradigme fondé sur la résonance, la conscience, et la structure.
« Et si l’évolution en question n’était pas technique, mais ontologique ? »
Voilà notre hypothèse.
Et peut-être, une invitation.